De plaisirs en douleurs délicieuses 3
Datte: 06/08/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Sexe Interracial
Auteur: charime, Source: xHamster
... matin.
- Hé, c’est toi qui m’as cherché, ne l’oublie pas. Alors, j’ai des couilles ou seulement des idées vicieuses.
- Les deux. Y avait longtemps que je ne m’étais pas sentie aussi merveilleusement bien.
- Alors ça me rend heureux que tu le sois.
- Si on allait manger dehors, mon prince.
Une douche, je me sèche, m’habille et l’attends près de ma voiture. Je regardais la vue qu’on avait de sa maison quand elle est arrivée. Et là, je crois tomber sur le cul. Ce que j’ai en face de moi est, sauf la personne que je pensais voir, entièrement en japonaise et c’est juste beau et mon baiser le lui dit. Même ses chaussures sont en bois, les chaussettes qui ressemble à des moufles blanches mais pour les pieds sont extraordinaire. Et je n’oublie pas l’ombrelle assortie au kimono. Je suis ébahi par cette femme d’une très grande beauté. Il me faudrait des pages et des pages pour exprimer tout ce que je ressens en la dévisageant comme un mec regardant la dernière voiture de sport du cheval cabré. Elle semble si…si inatteignable de par sa beauté que j’en frissonne de désir, que j’ai envie de la coucher de l’aimer et pourtant, je n’oserai le faire sous peine de briser ce charme qu’elle dégage, de défigurer sa grande beauté.
Gentleman, je lui ouvre la porte, lui tenant sa main. Je referme doucement la portière avant de me précipiter côté conducteur. Tout en la dévorant des yeux, elle se met à rire, mais à rire devant ...
... mon air imbécile. Ma main ne trouve pas le trou de la clef de contact, je n’arrive pas à détourner mon regard de ce visage si merveilleux. Cette fois, j’en suis certain, c’est avec elle que je vais finir ma vie.
Enfin, c’était le moment, le moteur ronronne. Elle me guide dans la ville, finit pas m’indiquer où mettre ma voiture. Je fais vite, voiture en place, je sors, je fais le tour, j’ouvre sa portière, je l’aide, elle est magnifique. Elle ouvre son ombrelle, me montre la rue à prendre. Plus loin, elle se colle contre un mur, se saisit de ma main qu’elle plonge sous son kimono, sur son entrecuisse. Mazette, elle ne porte rien en dessous ! Je l’embrasse tout en caressant son abricot déjà humide. Il ne lui faut guère de temps pour qu’elle jouisse dans un long soupir, les yeux fermé, sa main sur le mienne. Je l’embrasse encore à pleine bouche avant de reprendre notre chemin.
Au bout de la rue, juste en face, un des restaurant japonais le mieux noté de toute la région. Je lui ouvre la porte, la laisse passer. Isabelle fait sensation, on s’incline devant elle. Au mur, je découvre certaine de ses œuvres, les plus sages qui soient. Sauf une, il ne faudrait pas qu’un client lui face faire un 180 degré, mmmh. Je bande en devinant l’autre œuvre cachée de ce tableau. On nous guide à force de courbettes jusqu’à une petite table non loin du fond. Il est vrai que cela me semble une bonne table, on peut voir tout le restaurant.