1. De plaisirs en douleurs délicieuses 3


    Datte: 06/08/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Sexe Interracial Auteur: charime, Source: xHamster

    Là encore, la semaine que je pensais être courte fut longue comme un jour sans pain. Chaque soir, je passe à la galerie, regarde mes futurs tableaux, les imaginant sur mes murs. Oh putain, mes murs, faudrait peut-être voir pour leur faire de la place. Je pique un double mètre à l’employée et mesure chacune des œuvres qui viendront chez moi. Une fois dans mon salon, merde si ça plait, je marque les emplacements avant de percer et poser les crochets. Dans mon bureau, alors que j’allume mon ordinateur, sur mon petit meuble, je vois que les trois copies de mes estampes ont été oubliées. Hop, dans ma voiture, direction la maison d’Isabelle.
    
    Elle ne se trouve pas dans son atelier, je file vers la maison. Au salon, personne, je fouille, l’appelle, rien, aucune réponse. Je pose mes copies au salon et grimpe à l’étage, direction sa chambre spéciale. Je la vois, solidement attachée, un gros vibromasseur coincé entre ses belles cuisses, son corps à moitié nu dans ses bottes de ballerine fétichiste. Je m’approche, sans relever ce bandeau qui l’aveugle, je caresse ses seins enchainés l’un à l’autre par une méchante paire de pinces. Elle ne peut parler, un bâillon boule l’a rendue muette. Elle ne peut se sauver, pieds et poings sont menottés. Elle ne peut que subir mes baisers sur son corps, mes caresses sur ce corps qui me fait rêver, fantasmer. Je m’allonge près d’elle tout en la caressant encore. Je crois qu’elle a deviné que c’était moi. Je lèche son oreille.
    
    - Tu vois ma ...
    ... puce, si j’étais un vilain monsieur, je te poserai dans ta cuisine avec un seau et une éponge. Et pis, si j’étais réellement pervers, je t’obligerai à laver le sol avec cette même éponge coincée dans ta bouche. Pire encore, si j’étais le sadique que tu le désires, je flagellerai ton merveilleux petit cul sans retenir ma force si ce n’était pas propre. Oui, tu es sublime quand tu jouis, laisse-toi aller, mon artiste adorée. Je suis venu te porter mes estampes, les copies dans mon bureau. Mais là, je crois que je vais te laisser et rentrer chez moi.
    
    Sa tête fait non, je l’entends qui proteste derrière son bâillon que je ne retire surtout pas. Je m’amuse avec la chaine qui unit ses seins, elle gémit derrière son bâillon. J’augmente la vitesse du vibromasseur, ses gémissements changent encore, son corps se tend encore. Elle jouit, je le sais, je le sens, je l’entends qui vibre de bonheur. Je fais mine de partir, claquant la porte de cette pièce aux supplices. Je la regarde en silence, elle cherche les clefs pour se délivrer. Je les tiens dans ma main. Pendu sur l’une des colonnes du lit, il y a un martinet. Je le prends, balade ses lanières sur le corps prisonnier. Je vois les frissons recouvrir ce corps superbe. Je la flagelle doucement, sans presque aucune puissance. Je l’entends gémir, ce n’est un gémissement de douleur. Cela ressemble plus à une supplique. Je frappe alors un peu plus fort, je vois le corps s’offrir complètement à mes sévices. Je la flagelle des pieds à la ...
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