Alicia et son papa (27)
Datte: 14/11/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Matt Demon, Source: Xstory
... dans sa voiture et m’a déposée à la maison. Papa étant absent, il m’a même aidée à me coucher, puis a posé sur mon chevet une grosse boîte d’antibiotiques, un flacon d’antiseptique et un tube de pommade cicatrisante. Je devais dormir avant qu’il parte. Je me suis réveillée en entendant un bruit : papa était là et me regardait dormir.
— Alors, ça va ?
— Oui, je suis un peu à l’ouest. Quelle heure est-il ?
— Presque 18 heures. Comment tu te sens ? Tu as de la fièvre ?
— Je ne crois pas. Tu sais, papa, il a percé mes lèvres intimes, le médecin. Deux fois, il a dit. Je ne comprends pas.
— Montre-moi, décida papa d’un ton autoritaire.
Je n’hésitai pas même une seconde. Je repoussai la couette et remontai les genoux contre mes épaules, exposant crûment mon intimité. Curieuse, je tendis le cou pour voir moi aussi quand papa écarta le gros pansement collé sur mon intimité. Les lèvres de ma vulve étaient gonflées et orange, de la couleur du désinfectant. Elles portaient chacune un épais anneau d’acier. Ils avaient nécessité un orifice important, et je n’avais rien senti. Papa m’examina longuement, sans rien dire, sans rien toucher.
— Personnellement, je ne t’aurais jamais fait ça, expliqua-t-il. Mais Raul a décidé.
— Je sais, papa. Je te remercie pour l’anesthésie, j’ai bien l’impression que sinon, j’aurais dégusté grave.
— Raul arrive dans une demi-heure, il vient de me prévenir. Tu auras intérêt à me vouvoyer et à marquer ton respect, jeune fille.
— ...
... Bien sûr ; merci, Monsieur.
— Allez, debout. On va faire un risotto aux champignons, j’ai du riz Carnaroli, du parmesan, des girolles fraîches et un petit chablis.
Cette fois, je me suis sentie bien quand je me suis trouvée debout. Toujours nue, bien sûr, j’ai accompagné papa à la cuisine ; il m’a fait mettre un tablier rouge qui protégeait mon torse et mes cuisses, mais laissait mon dos et mes fesses à l’air. Quand Raul est arrivé, à 19 heures, le risotto embaumait la cuisine, pratiquement prêt à consommer.
— On mange déjà ? s’étonna Raul. Non que je me plaigne, l’odeur est sacrément alléchante.
— On a un peu de temps, expliqua papa. On va boire tranquillement l’apéritif, chablis avec bruschettas ; ça te dit ?
— D’accord, c’est quoi ? Le chablis, ça va, je connais. Mais les broutchétasses non.
— Béotien, s’indigna papa. Ce sont de grandes tartines de pain grillées avec tomate en dés, ail et huile d’olive. Et ensuite, tu peux compléter avec ce qui te plaît, fromage, jambon cru, champignons... Moi, j’y ai juste mis du pesto. Non, ne me demande pas ce qu’est le pesto, par pitié.
— Alors je ne te le demande pas, sourit Raul avant de se tourner vers moi. Alors ça va, toi ? Tu as survécu ?
— Oui Monsieur.
— Parfait, alors. J’ai pensé à toi toute la journée et j’ai mal à la bite tellement elle est raide. Je crois bien que je vais t’enculer toute la nuit. Tu es prête pour ça ?
— Oui Monsieur. Je serai heureuse de vous donner mon petit cul autant qu’il vous ...