1. Alicia et son papa (27)


    Datte: 14/11/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... vaguement dégoûtée du fait de mon visage maculé, je fus autorisée à partir me nettoyer. Hamid me cueillit dans les vestiaires.
    
    — Toujours à poil, décidément. Taille-moi une pipe en vitesse, tu es attendue chez le docteur.
    
    Décidément, ma bouche avait du succès ; je ne protestai pas, à quoi bon ? Je me mis à genoux pour la énième fois et sortis la verge épaisse et brune du vigile. Il ne bandait pas et je le suçai longtemps avant d’obtenir une érection satisfaisante. Il me fallut ensuite le prendre en gorge profonde, comme il aimait, pour qu’il éjacule enfin sur ma langue. Il aimait bien que je lui montre la semence dans ma bouche ouverte avant de l’avaler, je le fis, servile jusqu’au bout. Il me jeta ensuite une robe informe et grise que j’enfilai sans chercher à discuter. Puis j’ai suivi Hamid jusqu’à sa voiture, une vieille Renault à la peinture rouge écaillée. Après un trajet en silence, il s’est garé devant la maison du docteur qui nous a reçus tout de suite. Il a d’abord examiné mes seins et a semblé satisfait de leur taille.
    
    — Je te fais de nouvelles injections, associées à ton traitement, ça devrait faire de l’effet rapidement. Je présume que tes aréoles sont toujours dressées et dures ?
    
    — Oui Monsieur, depuis quelques jours.
    
    — Tu réagis bien au traitement, c’est pour ça que je continue. Installe-toi dans le fauteuil, je vais être obligé de t’attacher.
    
    — Mais pourquoi, Monsieur ? demandai-je, alarmée. Je ne bougerai pas.
    
    — Je vais percer tes grandes ...
    ... lèvres, il me faut être précis, tu dois donc être parfaitement immobilisée.
    
    Mes grandes lèvres ? Mon Dieu, c’est ce que disait Raul tout à l’heure ! Il va fermer mon vagin je ne sais comment. Et tout ça parce que j’aimerais faire l’amour normalement, avoir le droit de jouir dans les bras d’un homme. Quand je vois les têtes du docteur et d’Hamid, je sais que je n’ai aucune aide à attendre de leur part. À la rigueur des baffes si j’essaie de discuter. Autant éviter ça, même si je suis terrorisée.
    
    La mort dans l’âme, je m’installai dans le fauteuil gynécologique et laissai le docteur me sangler. Il serrait fort et je protestai quand il pinça mes poignets. Je fus récompensé par un gros bâillon-boule bien fixé lui aussi. Coudes, chevilles, cuisses, torse puis ventre, front en dernier, je ne pouvais plus bouger que les doigts. Je n’en menais pas large quand le médecin écarta mes jambes légèrement repliées. Je ne voyais rien, mais je savais que ma vulve était exposée au maximum, complètement sans défense.
    
    — Je désinfecte, puis tu auras droit à une anesthésie locale. Tu pourras remercier ton père, car Raul n’en voulait pas. Je vais te faire deux piercings, un à gauche et l’autre à droite, bien sûr. Mais je vais attendre que la zone soit convenablement endormie.
    
    Je pourrais dire que j’ai eu mal, mais je dois à la vérité d’avouer que je n’ai rien senti. Quand j’ai été libérée, je me suis redressée en vacillant, les jambes ne me portaient plus trop. Hamid m’a aidée à monter ...