1. Nuit d'été


    Datte: 14/11/2021, Catégories: h, jeunes, Inceste / Tabou Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, Masturbation caresses, mast, Auteur: Centaurspath, Source: Revebebe

    ... faire semblant de dormir, je me retourne vers le lit d’Ulysse et alors je vois que la lune éclaire la chambre plus que je ne l’avais cru, car je vois clairement son lit, les draps et les mouvements qui continuent en dessous.
    
    Le mouvement est lent, doux, continu. Le souffle d’Ulysse est plus fort désormais, ou bien est-ce moi qui me focalise dessus ?
    
    Je vois se dessiner la bosse de ses mains qui semblent monter et descendre sous la toile.
    
    De mon côté, ma main a repris ses va-et-vient sur ma verge. Comme je pointe désormais du côté d’Ulysse, je me retourne encore d’un quart de tour pour cacher ma queue sous mon corps et contre le matelas. La voilà prise entre mon bas-ventre et le drap. C’est délicieux de sentir mon gland contre ma peau.
    
    Le drap qui recouvrait encore mon cousin semble avoir glissé tout seul et je peux alors voir, dans la pâleur de la lune, le corps étendu , nu , offert à la fraîcheur de la nuit.
    
    Il a toujours été beau : fin et musclé, je devine là chacun de ses muscles… Je l’ai toujours trouvé très attirant… mais ce que je vois là est encore plus beau : dans la lumière diaphane de la chambre, je vois se dessiner son sexe, dressé, magnifique pointant vers son visage, mais tellement bandé, tellement dur, qu’il ne repose même pas sur son ventre. On dirait la courbe d’un arc magnifique qui prendrait naissance dans les quelques poils de son bas-ventre.
    
    Lorsque sa main reprend le jeu qu’elle avait commencé sous les draps, j’ai l’impression de voir ...
    ... jusqu’à son fourreau coulisser sur son gland. Je devine même le bruit humide que fait son prépuce lorsqu’il glisse … Comme moi, il doit mouiller abondamment. Ce bruit est délicieux.
    
    De mon côté, je ne peux empêcher mes hanches de se mouvoir et de faire glisser mon sexe contre les draps. Lorsqu’il glisse contre mes abdominaux, je sens avec la fraîcheur du vent nocturne, l’humidité de ma mouille sur ma peau.
    
    Je devine les muscles des fesses de mon cousin qui se tendent et se détendent dans la lumière de la nuit. J’entends désormais clairement les clapotis de son sexe. Il n’a plus la force d’être discret.
    
    Je vois qu’il écarte les cuisses pour laisser pendre ses couilles entre ses jambes pendant que sa main s’active sur sa tige. Les mouvements plus rapides au début sont devenus plus amples et synchrones avec ses mouvements de bassin.
    
    Je me retourne sur le dos et toute la chambre semble s’être emplie d’une odeur de sexe entêtante : cette odeur que laisse le precum quand il coule le long de ma hampe, quand il se mélange avec la sueur et glisse entre les couilles …. tout ce liquide qui vient se perdre dans les replis de mon aine et de mes fesses dégage cette impérieuse odeur d’un désir de mec. S’agit-il de ma seule odeur ? De nos deux parfums mêlés ?
    
    J’ai pris mon sexe à deux mains désormais et je pousse ma tige dans le creux de la main en poussant avec mes hanches, avec cette force et cet élan vital qui semble avoir pris possession de cette nuit.
    
    Le souffle d’Ulysse ...