1. ma femme fait de moi une vraie salope soumise... (1)


    Datte: 13/11/2021, Catégories: Gay Auteur: méditerranéen, Source: Xstory

    ... peu peur, mais très vite, je me remis en tête que ma femme, si douce, ne me ferait pas mal... vous allez voir que j’étais complètement à côté de la plaque...
    
    Elle m’ordonna de me lever, et de me mettre à quatre pattes sur le canapé. J’obéis sans réfléchir. Puis je sentis son gode à l’entrée de mon cul, déjà lubrifié par ses doigts ; elle entra d’un coup, m’arrachant un petit cri ; je pouvais désormais sentir le cuir de sa ceinture contre mon cul ; elle m’enculait profondément. Puis elle effectua quelques allers-retours en douceur, et d’un coup, je sentis les coups de sa queue de plus en plus forts. Son bassin venait frapper mon cul, de plus en plus fort, et de plus en plus souvent. Je sentis m’envahir une sensation de chaleur étrange, et je me mis à gémir sous ses assauts. Elle m’encula comme ça un très long moment.
    
    — Alors, tu aimes ça quand je te baise ?
    
    — Mmh...
    
    — Alors, montre-le-moi, bouge ton cul de petite salope...
    
    Je me mis à bouger mon cul, en gémissant, car elle commençait à me faire mal ; ses coups étaient de plus en plus prononcés, et mon cul, tout ouvert, recevait entièrement son gode.
    
    — Je voudrais faire une petite pause mon amour, lui dis-je.
    
    — Tu rêves, je n’en ai pas fini avec toi. Mets-toi sur le dos !
    
    Maintenant sur le dos, le cul brûlant, je me faisais prendre en missionnaire. C’était plus agréable ; j’avais ses seins dans le visage, et dans ce sens, son gode stimulait encore plus mes sens.
    
    Je tentais d’attirer son visage vers le ...
    ... mien pour l’embrasser, mais elle résista, et en lieu et place, me mit ses doigts dans la bouche. Je me mis à les sucer, sous ses coups de bite. Elle me regardait avec autorité, et me baisait sans ménagement. Je sentis même la jouissance monter, tant sa situation de domination était excitante. Je lui appartenais ! Elle avait là entre ses cuisses mon plus grand secret, et je ne pourrai plus jamais faire marche arrière ; quand elle voudra me prendre le cul, désormais, je devrai m’y soumettre. Cette sensation de perdre pied, de perdre mon rôle et ma virilité était délicieuse ; je me laissais aller devant elle à ce que j’aimais être.
    
    — J’ai envie de jouir, lui dis-je.
    
    — Non, tu ne jouiras pas...
    
    — Pourquoi ?
    
    — Mon patron passe ce soir...
    
    — Je ne vois pas le rapport...
    
    — Moi si ; c’est un homo, et je lui ai dit que mon mec aimait la queue ; cela l’a beaucoup intéressé. Et depuis qu’il a vu ta photo, il ne cesse de me demander de te rencontrer...
    
    Je connaissais bien son patron ; un mec d’une quarantaine d’années, patron de salon de coiffure, soucieux de son physique, viril, mais à l’homosexualité flagrante et débridée.
    
    — Et toi tu lui as dit oui, sans même me demander ?
    
    — Oui, et ça sera désormais toujours comme cela ; quand je déciderai qu’un mec va te baiser, il te baisera. Et quand je déciderai de te baiser, tu obéiras. Et ce soir, il va te baiser devant moi, c’est ce que nous avons tous les deux prévu pour toi.
    
    En me parlant, elle sortit de mon cul ...