Dimanche 27 septembre 1981 –Matin
Datte: 13/11/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Maceron, Source: Hds
... brutalement suivit de légères contractions qui la laissèrent essoufflées pour enfin se laisser aller. Ce qui venait de se passer, ne m’avait pas laissé indifférent et j’avais une trique importante et je n’avais pas l’intention d’en rester là, je la voulais, … Alors que j’étais toujours installé entre ses cuisses et qu’elle semblait avoir l’intention de se laisser glisser de la table, son entrejambe butta contre ma queue parfaitement dressée et prête à servir. Sentant cela, elle glissa une main entre nous et sentant la chose bien dure, elle dit : « OH, … non, … pas maintenant, …» ce à quoi je lui répondis : « OH si, … maintenant, … t’es toute chaude, … » Elle était en bonne position et elle se laissa, légèrement, glisser de la table pour venir s’empaler sur ma bite, qui s’introduisit dans son fourreau sans problème tellement elle était trempée. Ses jambes se refermèrent sur mes reins et pendant que je commençais à la ramoner avec entrain, elle se laissa aller sur la table : « Oui, … viens, …baises moi, …prends moi fort, … défonces moi la chatte, … oui, … baises moi fort, … » Il n’y avait plus qu’à s’exécuter avec plaisir et faire en sorte de satisfaire cette femelle ...
... gourmande, offerte et chaude à point. Bien enfoncé en elle et coulissant à merveille dans son fourreau je glissais mes bras sous ses genoux et, ainsi lui relevais les jambes, ce qui me permettait de les écarter encore plus, donc de m’enfoncer au maximum dans sa chatte. Elle appréciait l’action, car elle prit ses seins les caressant puis les prenant à pleines mains, pour les malaxer avec énergie : « Oui, … continues, … j’aime que tu me prennes comme ça, … oui, … baises moi fort, … j’aime que tu me remplisses, … retiens toi, … je sens que ça vient, … oui, … encore, … plus vite, … OOOOOHHH, … OUIIIIIIIIII, … » elle se cabra, s’offrant encore plus, pendant que le me vidais dans sa chatte et qu’elle continuait d’avoir des spasmes qui allaient en s’adoucissant. Enfin, je la relâchais et se redressant, elle vint se coller contre moi : « Tu es un monstre, … je t’adore, … viens on rentre, … » et elle passa sa robe, laissant son corsage très ouvert, quant à sa jupe elle la remonta au maximum, alors que je lui disais : « Si un flic nous arrêtes, … on va avoir des problèmes, … » mais nous arrivâmes sana encombre à la maison, où après une douche nous étions au lit pour un repos bien mérité.