Dimanche 27 septembre 1981 –Matin
Datte: 13/11/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Maceron, Source: Hds
... d’ailleurs que vous allez bien trouver un prétexte pour vous rencontrer et en discuter, … »
AL : « Fous moi la paix, … il fait encore bon, … on retourne se baigner, … dans un endroit tranquille, … »
Moi : « Aurais-tu des idées, …
AL : « Fous moi la paix et conduis, … »
Moi : « As-tu pris une serviette et un maillot, … »
AL : « Un maillot, … pourquoi faire, … tu me veux nue sous mes robes, … si on va à une plage tranquille, pourquoi mettrais je un maillot, … et toi, …»
Moi : « Moi, tu sais que j’en ai toujours un dans la voiture, … »
AL : « De toutes les façons, avec ou sans maillot, … un homme est beau, que quand il bande, … »
Moi : « Tu sais ce que tu es, … »
AL : « Oui, ta femme chérie, … avec qui tu vas aller te baigner, … et ensuite, à qui tu vas bouffer la chatte, … salée, … et à qui tu feras l’amour sur la table, … non, … que tu baiseras très fort, … »
En charge de la construction de la route qui longeait l’océan et traversait le pays, je connaissais toute la plage, l’utilisant quelque fois le soir, après le travail, pour aller faire trempette. Nous sommes allés bien au delà de l’habituelle plage, à la hutte où il n’y avait personne.
Moi : « L’endroit te satisfait-il ?
Sans rien dire, elle descendit. Alors, le temps que je ferme la voiture, elle s’était rendue dans la hutte et s’était mise nue et en prenant une pose plutôt excitante, elle dit :
AL : « Dis moi que je te plais, … que tu as envie de moi, … » et elle fila plonger ...
... dans l’eau, il ne me restait plus qu’à la suivre, ce que je fis.
Nous étions dans l’océan et batifolâmes, comme des gamins, pour enfin revenir sur la plage. Alors que j’essayais de la prendre : ‘Non, … pas, ici, … pas sur le sable, … dans la hutte, … »
Là sans l’ombre d’une hésitation, sur la table, s’appuyant sur ses coudes et les cuisses bien écartées : « Viens me goûter, … regardes c’est à toi, … » Heureusement un rayon de lune éclairait plus ou moins le spectacle. Elle m’offrait sa chatte à goûter, ce que je m’empressais de faire. L’odeur de sa chatte sentait sa propre odeur mélangée à l’odeur salée de l’océan, ce que je m’empressais de déguster d’abord du bout des lèvres puis goulûment. Ma langue alla chercher et apprécier le jus qui suintait de son minou. Je m’en réglais, et lui disais en plaisantant qu’elle avait un peu trop salé la sauce. « Imbécile, … continues, … j’aime sentir ta langue, … » et là, si ma langue s’occupait du haut de sa chatte, deux doigts s’enfoncèrent au plus profond de son fourreau que je masturbais d’abord doucement puis avec entrain, la réaction arriva rapidement : « Oui, … continues, … c’est bon, … j’aime te sentir me prendre comme ça, … » ses mains s’étaient sous ses genoux et elle avait soulevé ses jambes en les écartant, s’offrant : « Tu vois, … je m’ouvre pour toi, … continues, … encore, … non, … ne t’arrêtes pas, … je sens que je vais, … oui, … continues, … OOOOOOHHHH, …- OUIIIIIIIIII, … » et elle eut un spasme qui la fit se contracter ...