1. Le dépucelage de Flore


    Datte: 13/11/2021, Catégories: f, h, fh, ffh, hplusag, ascendant, grossexe, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hgode, init, Humour totalsexe, Auteur: Bamby2638, Source: Revebebe

    ... grosses bourses qui pendent et qui me semblent encore gorgées de foutre.
    
    Flore de Saintonge nettoya consciencieusement le dard puissant tandis que sa mère l’abreuvait de conseils.
    
    — Votre futur époux apprécierait, je le crois, que vous le masturbiez un peu.
    
    Elle guida un instant la main de sa fille qui trouva vite le rythme puis soudain elle appuya fermement sur la nuque de Flore pour la courber en avant.
    
    — Ouvrez la bouche et laissez Monsieur le Comte vous envahir.
    
    Flore obéit, et sa mère, guidant sa tête, lui enseigna les bons gestes. Bientôt, le comte que le plaisir gagnait déclara :
    
    — Je savais bien qu’une catin ne pouvait accoucher que d’une catin, et je vous en rends grâce, chère baronne.
    
    Cette dernière ne répondit pas. Elle avança la main, et enfonça un doigt dans l’anus du comte qui s’écria :
    
    — Ah, mesdames, je crois que je vais vous marier toutes les deux ! Vous vous complétez à merveille.
    
    Le comte ne pouvait détacher les yeux de la chatte luisante de Flore.
    
    — Il me vient une puissante envie de goûter mademoiselle votre fille.
    
    Il sauta hors du baquet et la baronne de Saintonge fit allonger sa fille sur le dos. Le comte s’allongea à son tour et lécha la vulve de la jeune femme. Sa langue s’agita sur le clitoris gonflé, et Flore s’enflamma. Tandis qu’il se délectait de la douceur de la chatte de sa future femme, la baronne se positionna derrière lui, et de sa langue pointue, lui titilla l’anus. Le comte sentit son ventre s’embraser et ...
    ... sa bite devint exsangue. La baronne, d’une main experte, apprécia et abandonnant un instant son ouvrage déclara :
    
    — Votre gourdin menace d’éclater, Monseigneur. Peut-être est-il temps de la dépuceler.
    
    Le comte ne répondit pas, mais il releva les jambes de Flore et, sans ménagement, enfonça son pieu d’acier. Flore poussa un petit cri qui rapidement se mua en des gémissements de plaisir. La baronne, soudain, fut saisie d’une envie irrésistible. Elle décrocha une bougie d’un chandelier et l’enfonça profondément dans l’anus du comte qui manifesta aussitôt son plaisir.
    
    Une heure plus tard, assis devant une collation, le comte déclara :
    
    — Après tout ce charivari, point n’est besoin de fiançailles. C’est nos épousailles que nous fêterons, en mon château, d’ici huit jours.
    
    Il se retourna vers la baronne.
    
    — Madame, puisque je ne puis vous épouser toutes deux, je fais le choix de votre fille, mais je vous veux chez moi à demeure.
    — Chez vous, Monseigneur ?
    — Oui, Madame. Je ne puis laisser à un simple palefrenier le plaisir de vos orifices. Je vais dès mon retour congédier les six gourgandines que je besognais en enfilade chaque soir… Des femmes de petite vertu, plus inspirées par l’argent que par le plaisir à me donner. Mademoiselle votre fille et vous-même m’avez convaincu que vous les surpassez et je gage que bientôt par ses observations et vos conseils, ma future femme sera plus cochonne que toutes les truies de mon domaine.
    — Elle le sera, Monsieur le Comte. Je ...
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