1. Le dépucelage de Flore


    Datte: 13/11/2021, Catégories: f, h, fh, ffh, hplusag, ascendant, grossexe, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hgode, init, Humour totalsexe, Auteur: Bamby2638, Source: Revebebe

    ... cours du repas, placée à la gauche du comte, elle dut supporter son haleine forte et ses regards lubriques posés sur sa poitrine. Parvenu au salon pour le dessert, le comte subitement saisit Flore par les hanches et la hissa sur la table de jeu. L’homme était gaillard. D’un geste savamment étudié, il lui écarta les cuisses. L’époque n’imposait pas encore la culotte aux femmes et il put se repaître de la vue de la jeune chatte à peine ombrée par la toison blonde. La baronne s’approcha et murmura :
    
    — Elle est encore vierge, mon cher baron.
    
    L’homme se redressa :
    
    — Ah ! j’eus préféré une fille déjà instruite des choses du sexe.
    — Elle apprend vite, mon cher baron. Et vous aurez grand plaisir, j’en suis certaine, à être le premier à l’éduquer.
    
    Flore écoutait sa mère faire la réclame de sa virginité. Elle n’osait pas resserrer les jambes et le comte put encore, copieusement, se rincer l’œil. La baronne se mit à rire.
    
    — Un homme de votre âge ne peut l’ignorer. Les pucelles n’ayant jamais été introduites sont particulièrement étroites, et le plaisir en est, dit-on, décuplé, mon cher Comte.
    
    L’homme se mit à rire à son tour.
    
    — Vous avez raison, baronne. Et cette jeune personne me semble avoir des appâts qu’il me tarde de découvrir.
    — Elle a des seins gros comme des melons avec des bouts épanouis de nature à satisfaire tout honnête homme.
    — Si fait, baronne. Vous m’avez mis l’eau à la bouche.
    — Alors, mon cher Comte, célébrons vos fiançailles.
    
    L’homme frotta ...
    ... sa longue barbe grise.
    
    — J’hésite encore, lança-t-il. Je serais fort navré de devoir la répudier dans quelques mois.
    — Et pour quelle raison, je vous prie ?
    — Pour incompatibilité.
    — Incompatibilité ?
    — Parfaitement. Or donc, avant de sceller notre accord, j’exige de me rendre compte par moi-même de ses prédispositions.
    — Je vous garantis que vous n’aurez pas lieu de vous en plaindre, Monsieur le Comte. Elle sera prête à satisfaire tous vos caprices.
    — Brisons là, baronne. Il n’est point d’engagement que je saurais prendre sans m’assurer du plaisir que je puis en retirer.
    — Eh bien soit. Il sera fait selon votre volonté, Monsieur le Comte. M’autoriseriez-vous à guider ma fille durant les ébats ?
    — Ma foi, cela me semble une idée des plus avantageuse. Vous pourrez ainsi mesurer l’ampleur de mes attentes et guider votre fille comme il se doit.
    
    La baronne Saintonge regarda attentivement son hôte :
    
    — Peut-être que si je me rendais compte par moi-même de vos attirances, me serait-il plus facile d’être de bon conseil ?
    
    Le comte se mit à rire :
    
    — Et pourquoi pas ? Ne dit-on pas qu’en choses du sexe, les habiletés de la mère sont souvent transmises à la fille par les voies de l’hérédité ?
    
    La baronne se retourna.
    
    — Veuillez nous laisser, ma fille.
    
    Lorsque Flore fut sortie, la baronne déposa son éventail sur le guéridon.
    
    — Vous conviendrez, baronne, qu’il me serait céans difficile d’introduire mon valet pour me dévêtir. Je vous prierai donc de vous en ...
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