1. Le dépucelage de Flore


    Datte: 13/11/2021, Catégories: f, h, fh, ffh, hplusag, ascendant, grossexe, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hgode, init, Humour totalsexe, Auteur: Bamby2638, Source: Revebebe

    ... charger.
    — J’allais vous le proposer, Comte.
    
    Ainsi la baronne dévêtit le comte et lorsqu’elle ôta les sous-vêtements en soie pourpre, elle poussa un cri d’admiration.
    
    — Oh, Monseigneur, quel appendice !
    
    Le comte s’exclama :
    
    — Je suis heureux qu’il vous siée. C’est un fidèle compagnon qui ne m’a jamais trahi et qui attend impatiemment que vous fussiez nue pour engager le combat.
    
    La baronne commença à se dévêtir.
    
    — Quelques petites douceurs vous siéraient-elles avant de livrer bataille, Monseigneur ?
    — Ma foi, je crois qu’un pareil gourdin mérite qu’on lui rende hommage.
    — Si fait ! J’ai une bouche gourmande qui convient tout à fait à pareil étendard.
    — Prenez garde, Madame ! Je risque de vous l’enfoncer jusqu’à la garde.
    — Permettez-moi, mon cher Comte, de vous branler un peu, afin qu’en ma bouche vous entriez droit et fier.
    — Soit… et n’ayez peur de me sucer longuement. Je suis par nature lent à décharger.
    — Entendu, Monseigneur. Mais j’espère qu’en revanche, vous êtes de nature à recharger vite, car il est dans mon projet de vous faire jouir en ma gorge et de profiter sans trop tarder de vos assauts vaillants en ma chatte impatiente.
    — N’ayez crainte, Madame. Avant une heure, je vous aurai saillie par tous vos orifices.
    — Vous me combleriez, Monseigneur.
    — Brisons là, Madame, mais avant de vous mettre à l’ouvrage, j’aimerais savoir combien de queues vous avez sucées depuis votre défunt mari.
    — Une… seulement, mon cher Comte.
    — Une seule ? ...
    ... J’exige d’en savoir plus.
    
    La baronne lentement fit coulisser le prépuce une nouvelle fois sur le gland avant de répondre :
    
    — Une seule… mais tous les jours, Monseigneur. Celle de mon palefrenier.
    — Vraiment ?
    — Oui, Monseigneur.
    — Et vous plaît-elle autant que celle-ci ?
    — Je n’ai pas encore goûté la vôtre, Monseigneur.
    — Eh bien, qu’attendez-vous, baronne ? Sucez !
    
    La baronne enfourna la bite épaisse et offrit au comte une récréation qui le surprit.
    
    — Vous êtes une suceuse de premier ordre, Madame.
    — Vous me flattez, Comte.
    — Que nenni ! Mais je vous en prie, poursuivez ! Et veillez à ne point oublier mes bourses… cela renforce encore ma vaillance.
    
    Le comte se mit à gémir. Sa respiration s’accéléra.
    
    — Dois-je vous avertir que ma semence est abondante ?
    — N’ayez crainte, Monseigneur. Je ne vous ferai pas l’affront de me retirer.
    
    La baronne se mit à pomper vigoureusement et le comte se répandit dans sa gorge. Elle sentit sa chatte bouillonner et regretta d’avoir soulagé le comte auquel l’âge allait imposer un long repos avant qu’il ne fût en état de poursuivre. Pourtant, pas plus de cinq minutes s’écoulèrent avant qu’elle ne sentît le comte empoigner sa maigre poitrine.
    
    — Je n’ai pas les appas de ma fille, lança-t-elle.
    — Certes, mais leur fermeté me ravit.
    
    Le comte plaqua ses reins contre les fesses de la baronne.
    
    — Oh, Monseigneur, déjà !
    — J’ai un apothicaire qui maîtrise l’art, par ses potions, de garder à la chose toute sa noblesse.
    — ...
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