1. Petite pute pour daddies (4)


    Datte: 13/11/2021, Catégories: Gay Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... de bain. La ventouse le solidarisa avec le carrelage et je dus m’empaler dessus, les pieds à plat en appui sur le sol et mes bras tendus en arrière. Il m’ordonna de danser sur le sexe en caoutchouc et me branla furieusement pendant ce temps-là.
    
    Bine que je fatiguasse vite, il me maintint ainsi le temps que je lui lèche la rondelle et le boules. Enfin, comme vraiment je n’en pouvais plus, il se retourna, me fit mettre à genoux et, la queue toujours tendue, il me pissa dessus.
    
    C’était inattendu, mais je laissai passer l’averse en fermant les yeux, mais en ouvrant la bouche comme il l’exigeait.
    
    Alors je pus me relever et me retrouver contre lui. Il m’embrassa fougueusement, lécha mon torse couvert d’urine et mon pubis mouillé comme une éponge. Il me suça puis me retourna. Je me penchai vers le lavabo, y posai mes mains et il m’enfila d’un coup par derrière en me faisant crier, ce qui ralentit un peu ses ardeurs, au moins pour un moment, car, très vite, les insultes redoublèrent comme les claques sur le cul. J’étais totalement soumis et je jouis en éclaboussant le meuble du lavabo.
    
    Mon sperme dégoulina rapidement sur la laque des portes, mais pas assez vite pour que je n’aie le temps de le recueillir dans mes mains et de l’avaler ensuite comme j’en fus prié.
    
    Puis je me remis en position d’accueil et il me pilonna à fond. Ma queue, désormais molle, et mes boules ballottaient au rythme de ses coups ...
    ... de queue, bien profonds et rapides.
    
    Puis il m’emmena sous et douche et, pour finir, il me présenta son zob à sucer pour éjaculer dans ma bouche.
    
    Comme il n’en était pas à sa première fois, il y en eut peu et je pus tout avaler.
    
    Nous nous douchâmes et regagnâmes le lit.
    
    Et nous reprîmes nos babillages, tout en nous bisouillant, nous tripotant les burnes et la tige, nous doigtant un peu.
    
    Il était tard et je commençai à sentir une douce torpeur m’envahir, au chaud, dans ses bras. Et puis il banda à nouveau, me fit rabattre mes jambes vers moi pour lui offrir à nouveau mon petit trou et il me laboura à nouveau. Il était insatiable. Je n’avais plus d’énergie et je ne pus que subir ses assauts aussi vigoureux que s’il me prenait pour la première fois. Il ne changea pas de position, se contentant de me faire couiner comme ça jusqu’à son orgasme dans ma chatte douloureuse d’avoir tant été limée pour son dépucelage.
    
    Je m’endormis alors qu’il était encore sur moi.
    
    Il était 14 h 00 quand je me réveillai, alerté par un bruit de chaînes et de gémissements très appuyés.
    
    J’avais faim. Je sortis dans la salle à manger. Elle était vide, mais il y avait des churros sur la table. J’en grignotais trois ou quatre avant de me diriger vers le couloir d’où venaient les bruits. Il y avait trois portes.
    
    J’ouvris celle qui cachait la scène de sexe dont le son non équivoque m’avait tiré du sommeil.
    
    A suivre 
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