1. Trois Hommes et Un Coup Fin 03


    Datte: 11/11/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: byfrederic_le_dard, Source: Literotica

    ... d'une femme violée. Mais en même temps, j'avais une posture d'abandon, cuisses ouvertes et mamelles offertes.
    
    *
    
    Patrick
    
    J'ai vu celui qu'elle appelait Serge tripoter Sylvie comme il avait dû le faire dans le bus, mais plus délibérément. Il semblait ne pas se soucier de l'autre voisin et mon ironie du début laissa place à de la perplexité jusqu'à ce que je comprenne qu'ils étaient de mèche. Il lui était difficile de dire qu'elle n'était pas consentante. Elle s'était certes démenée pour les empêcher de la peloter au début, mais assez vite elle s'est laissée faire.
    
    Heureusement pour la morale, le reste de la salle était concentré sur le film et ne faisait pas attention à la scène orgiaque qui se passait dans son dos.
    
    Malgré moi, comme les fois précédentes, je me suis aperçu que ça m'excitait énormément. Je me suis pétris le sexe à travers mon pantalon. J'évitais de me faire remarquer pour que le spectacle pornographique ne s'arrête pas.
    
    *
    
    Sylvie
    
    Serge s'est penché vers moi et a chuchoté :
    
    - Tu vas nous branler.
    
    Ils m'ont pris les mains et les ont posées sur leur braguette. J'ai compris qu'ils voulaient que je sorte moi-même leurs verges. Je sentais qu'elles étaient dures dans le pantalon. J'ai regardé les autres spectateurs devant nous pour m'assurer qu'aucun ne s'était aperçu de ce qui venait de se passer. J'ai voulu attraper la petite tirette de la fermeture Éclair mais je ne parvenais pas à m'en saisir. C'était idiot. Serge m'a dit :
    
    - Défais ...
    ... le bouton de la ceinture, ce sera plus facile.
    
    Je l'ai fait pour Serge en me penchant vers lui et en m'y prenant à deux mains. Ensuite, j'ai regardé mon autre voisin. Il a baissé les yeux vers son pantalon et m'a fixée à nouveau. J'ai défait son bouton, j'ai ouvert sa braguette et j'ai pris son sexe pour le sortir du slip. Je me suis tournée ensuite vers Serge pour extraire le sien. Je me suis adossée à mon siège et je les ai pris tous les deux dans mes mains. C'était la première fois de ma vie que je tenais deux pénis.
    
    Je les ai massés un moment, dégageant le gland, plongeant dans le caleçon pour caresser les testicules. Je me faisais plaisir. Mais Serge m'a rappelé ce qu'il m'avait demandé :
    
    - Branle-nous pour nous faire gicler.
    
    Je me suis enhardie et j'ai répondu, mais d'une voix toute timide et effarouchée par ce que je demandais :
    
    - Je ne peux pas. Il faudrait que vous baissiez vos slips vous aussi.
    
    Je n'avais pas l'habitude de dire ce genre de chose. Ça m'arrivait de former de telles phrases dans ma tête, mais jamais de les prononcer. De la même façon, je pouvais penser à des situations extravagantes mais j'étais incapable de les exprimer. J'avais été très excitée de me dire « il m'a baisée dans les toilettes ». Cette fois, mon cœur s'est accéléré quand j'ai proposé qu'ils se déshabillent dans le cinéma. C'est aussi grisant qu'un verre d'alcool pour quelqu'un qui ne boit jamais.
    
    L'un et l'autre ont fait comme moi. Il se sont soulevés légèrement et ...
«1...3456»