Opération Circé (8) - Histoires de Sexe

Opération Circé (8)

... voulez-vous ?

— Ce que vous faites ici ne plaît pas à notre gouvernement. Nous avons eu écho de la découverte d’un texte osé sur cette stupide légende grecque de l’Odyssée, c’est juste pervers et dégoûtant. Dieu, son Nom soit loué, ne permet pas ce genre de choses, nous ne le permettrons pas.

— Charmant. Qui êtes vous ?

— Les agents d’un pays qui ne vous aime pas, ni vous, ni les grecs.

— Et alors, qu’allez-vous faire ? Vous ne pouvez pas empêcher des chercheurs de travailler !

— Vous allez rester en notre compagnie, longtemps, le temps qu’il faudra. Nous allons dire à vos collègues que nous ne vous relâcherons que s’ils abandonnent immédiatement leur recherche.

— Et vous croyez qu’ils vont marcher ?

— Bien sûr, les chercheurs sont des citoyens ordinaires qui céderont inévitablement. Une jolie fille comme en vous en danger… Ah regardons qui vous êtes vraiment. Qu’as-tu trouvé dans ce qu’elle avait sur elle ?

— Pas grand chose, carte d’identité, carte de crédit, smartphone et un stylo.

— Ah il faudra nous donner le code d’accès de votre smartphone.

— Allez vous faire foutre ! répondis-je.

— Je vous trouve bien rebelle, Mademoiselle Alexandra Forestier.

— Madame.

— Oh pardon. Il y a donc un Monsieur Forestier.

— Cela ne vous regarde pas.

— Ah, je vois, ces dégénérés de français autorisent bien sûr le mariage gay. Si ça se trouve, t’es une pute lesbienne ! C’est vrai que notre indic à l’université a parlé de trois français dont deux ...

... femmes qui semblaient assez proches. Bon, et si on s’occupait de toi ? Une jolie pute lesbienne comme toi, tu vas goûter de nos bites !

Il vint vers moi et me releva ma robe légère au-dessus de ma tête, me faisant apparaître en culotte et soutien-gorge.

— Pas mal roulée la pépée ! On va prendre du bon temps !

Il se tourna vers son collègue qui n’arrêtait pas de cliquer sur le bouton du stylo.

— Arrête de jouer avec ce stylo, amène moi un couteau que je tranche ses sous-vêtements.

— Pardon chef, c’est un réflexe, j’aime toucher les objets…

— Je sais… Non mais quel empoté, je ne sais si je te laisserai la baiser !

Vite, il fallait que je fasse quelque chose. Seule idée, je pensai très fort à faire apparaître ma bite. Quand l’acolyte amena le couteau, j’étais en train de me transformer. Il trancha d’abord mon soutien-gorge, libérant ma poitrine et ne put s’empêcher de me peloter les seins. Quand il descendit vers mes hanches, j’étais prête. Avec la pénombre il ne remarqua pas la bosse que faisait mon service trois pièces dans ma culotte, c’est quand il trancha les bords de ma culotte qu’il vit ce qu’il ne s’attendait pas à voir ! Il se recula violemment et s’écria :

— Putain, t’es une salope de trans ! Vous autres français n’êtes que des dégénérés !

— Surpris, connard, lui dis-je.

— Tu m’as coupée mon excitation, salope, mais on te prendra quand même par le cul plus tard.

J’entendis alors une voix dans ma tête :

~ Alex, laisse-moi faire, je ...