Ce que femmes veulent
Datte: 06/08/2018,
Catégories:
fh,
fffh,
extracon,
médical,
enceinte,
amour,
fdomine,
humilié(e),
cérébral,
revede,
massage,
pénétratio,
fsodo,
jeu,
initiatiq,
Auteur: Olaf, Source: Revebebe
... titiller mes tétons du bout des doigts, pinçant, griffant, massant tant et si bien que je sens monter un violent désir aux creux de mes reins. Je lance mes hanches à la recherche de son puits d’amour, et me cale profondément en elle. Aux frissons qui me parcourent déjà, elle sait ce qui se trame en moi. Glissant une main entre nos sexes trempés et gonflés d’envie, elle se met à caresser son clitoris sans plus de retenue.
— Je suis Julia, la femme délaissée, celle qui se prépare pour chacun de tes retours sans que tu le remarques, celle qui sait mais ne fait jamais de reproches, celle qui ne peut pourtant se retenir de quémander ta tendresse.
J’ai à peine le temps de poser ma main sur sa hanche, et de l’attirer à moi, que déjà son ventre se contracte et qu’elle explose dans un orgasme libérateur. Elle se laisse si intensément submerger par le plaisir que des giclées de lait coulent sur son ventre et mouillent ma peau.
Elle s’offre encore quelques minutes de bonheur, sans bouger, ma queue plantée en elle. Puis elle cède sa place à Tiffelent, qui se glisse entre mes jambes et me force à me recoucher sur le dos, avant que je commence à débander.
— Je suis Tamar, la vierge noire, celle qui conduit de la mère à l’épouse (2), l’initiatrice, celle dont tu as perforé les entrailles dans la douleur, celle qui s’est offerte au-delà de ce que tu avais imaginé.
D’une main habile, elle me caresse jusqu’à l’insupportable. Je me sens douloureusement bander entre ses doigts, ...
... à l’extrême limite avant l’explosion. Dès qu’elle me trouve assez rigide, elle se redresse un peu, guide mon pieu entre ses fesses, et en dépose la pointe à l’entrée de son puits étroit.
— Je suis Tamar, la maîtresse patiente, celle qui attend ton retour, qui t’ouvre ses bras et son ventre selon ton bon plaisir, celle qui t’appartient sans conditions.
Avant même d’avoir achevé sa phrase, elle s’enduit du jus clair qui dégouline de mon membre dilaté, et s’empale d’un coup sur moi. Après s’être laissé quelques minutes pour s’habituer à la taille de la tige qui la perfore, elle commence un lent va-et-vient de son bassin, tout en plongeant un doigt, puis deux, puis trois dans sa vulve béante de désir.
— Je suis Tamar, la libérée, la scandaleuse, celle qui prend et qui donne tout, qui n’appartient qu’à elle-même, qui se partage avec ceux qui osent se perdre en elle, se noyer dans les voluptés de son ventre et de ses sortilèges.
Accompagnant chaque mot d’une caresse plus appuyée et d’un mouvement impatient des hanches, elle se donne rapidement un violent plaisir par les deux orifices qu’elle est arrivée à combler en se servant de moi comme d’un instrument de jouissance.
Au moment où le feu d’artifice s’allume en elle, les contractions de son orgasme me propulsent à mon tour dans un délire sensuel. Je perds la maîtrise de ce qui m’arrive, et m’abandonne complètement à ce qu’elle a déclenché. D’épaisses giclées de sperme fusent de ma verge dilatée, et vont inonder des ...