Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (14) - Histoires de Sexe

Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (14)

... secondes avant que Lionel ne lâche sa sauce. Elle sentit le préservatif gonfler légèrement en elle.

— Satisfait ?

— C’était incroyable ! Jamais ma main ne m’avait donné autant de sensations !

— Contente pour toi !

Elle laissa la queue molle sortir de son vagin et remit sa culotte ainsi que sa robe. De son côté, Lionel retira le préservatif et le jeta dans les toilettes de la chambre. Il allait remettre son caleçon quand Lili l’arrêta.

— Tu vas remettre ton caleçon alors que ta bite est couverte de ton sperme ?

— C’est pas grave. Je le changerais une fois chez moi.

— Laisse moi faire.

Lili se pencha et saisit la queue de sa main droite. Elle goba la hampe molle avec sa bouche et fit disparaître toute trace de sperme.

— Voilà !

— Bah merci pour tout ! Dit Lionel.

— De rien, mon chou ! On retourne dans le salon ?

— Ok.

Ils sortirent de la chambre et tombèrent nez à nez avec Caroline et son grand brun.

— Salut Lili ! T’aurais pas trouvé une chambre de libre ?

— Si, juste là, répondit-elle en désignant la porte derrière elle.

— Nice !

— Et Yana ? Elle est où ?

— Je l’ai vue se diriger vers la chambre d’amis. C’est juste à côté de la salle de bain.

— Ok merci.

Caroline entraîna son partenaire dans la chambre. Lili et Lionel se regardèrent, amusés et repartirent vers le salon.

Cinq minutes plus tard, Lili vit sa sœur revenir dans le salon. Elle s’assit à côté d’elle dans le canapé.

— C’était comment ? Demanda ...

... Lili.

— Naze. C’était sa première fois à lui aussi. Il m’a pénétrée pendant deux minutes avant d’avoir un orgasme. J’ai quasiment rien senti.

— Pareil de mon côté. Mais, au moins, t’es officiellement plus vierge !

— Mouais. T’avais raison, les mecs c’est pas ouf en fin de compte.

— Dis pas ça. Je suis sûre que tu trouveras un mec qui saura te faire plaisir un jour.

— On verra.

Elles rentrèrent à la maison vers deux heures du matin, sobres à nouveau. Lili se dirigea vers sa chambre et se jeta directement sur son lit.

JOUR DE LA DISPARITION

Lili se réveilla vers quatorze heures. La soirée d’hier l’avait mise KO. Apparemment, Yana ne semblait pas se porter mieux que sa sœur car elle descendit dans la cuisine une heure plus tard.

— Yo sœurette ! Ça va ? Lança-t-elle en entrant dans la pièce.

— Salut Yana.

— Elle est où maman ?

— Au boulot ?

— Un dimanche ?

— J’en sais rien, je l’ai pas vue. J’ai dit ça comme ça.

Les deux sœurs mangèrent en silence. Ni l’une, ni l’autre n’avait vraiment envie de reparler de leur expérience de la veille.

Il était quinze heures lorsque la porte d’entrée s’ouvrit avec fracas. Leur mère se tenait dans l’embrasure.

— Lili, Yana, venez tout de suite !

— Un problème maman ?

— Oh oui ! Un gros problème même. Il faut qu’on aille à l’hôtel de ville sur le champ ! En route !

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