Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (14) - Histoires de Sexe

Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (14)

... contre le blond. Elle frottait son postérieur contre l’entrejambe de son cavalier qui semblait apprécier le traitement. Décidément, cette soirée partait en vrille.

Une fois qu’elle eût terminé son verre, Lili le posa sur la table et se tourna vers Lionel qui semblait gêné de voir ses potes être chauffés de la sorte.

— Je te plais ? Demanda Lili, directe.

Lionel sursauta en entendant la question.

— Euh…

— Sois franc, j’ai pas toute la soirée.

— Tu es belle…

— C’est tout ?

— Euh non… Tu es magnifique…

— Je te trouve pas mal aussi… On coupe le blabla et on baise ?

Lionel parut choqué de la proposition.

— Qqqquoi ?

— Bah, ça te dis de passer un peu de bon temps ?

— On se connaît à peine…

— Ça existe les coups d’un soir non ?

— Euh oui.

— Faisons ça alors. On va dans une chambre, tu me sautes et on n’en parle plus.

— Tu es sûre ? Demanda le jeune homme.

— Oui ! T’as jamais baisé ou quoi ?

— Nnooo-on, balbutia-t-il. Je suis puceau.

— Puceau ? T’as quel âge ?

— 19 ans.

— C’est un bel âge pour se faire dépuceler. On y va ?

— D’accord.

Lili saisit la main de Lionel et l’entraîna hors du salon. Elle ouvrit plusieurs portes avant de trouver une chambre. Ils entrèrent et verrouillèrent la porte. Lili n’attendit pas plus longtemps et retira d’un coup sa robe noire.

— Oh merde ! Tu es canon en fait !

— Bah oui. Tu te déshabilles ?

— Oui oui.

Il enleva avec empressement son T-shirt et le jeta par terre. Il ...

... descendit ensuite son pantalon, révélant un caleçon déformé par une érection.

— Je te fais de l’effet on dirait… dit Lili en retirant son soutien-gorge et sa culotte.

— On peut dire ça. Ton corps est encore plus magnifique sans ta robe.

— Allez, retire moi ce boxer et empale-moi.

Le jeune homme s’exécuta et descendit son caleçon, révélant un pénis de taille respectable.

— Bon t’es correctement membré au moins.

— Tu trouves ?

— Elle mesure combien ?

— 14.5 cm.

— Bah tu vois, c’est super !

Elle poussa Lionel sur le lit et s’empressa de grimper sur lui. Au moment où elle allait laisser son pénis entrer en elle, elle s’exclama :

— Merde, on a oublié la capote !

— J’en ai pas, dit le jeune homme, paniqué.

— T’en fais pas, j’en ai justement une.

Elle ouvrit son sac et sortit sa dernière capote. Elle l’enfila rapidement sur la bite en érection et se repositionna au dessus de lui.

Quelques secondes plus tard, le dard était en elle. Elle le chevauchait avec vigueur. Sentir une queue vivante en elle lui avait manqué. Même si cet organe ne l’avait jamais fait jouir, il ne pourrait jamais être remplacé par un sextoy.

— Oh bordel ! T’es super serrée !

— On me le dit souvent.

Après seulement quelques secondes, il s’exclama :

— Je crois que je vais jouir…

Déjà ? Ils venaient à peine de commencer !

— C’est normal, c’est ta première fois. Laisse-toi aller, dit-elle à contrecœur.

Elle continua à le chevaucher quelques dizaines de ...