Nos pulsions taboues de couple (8) - Histoires de Sexe

Nos pulsions taboues de couple (8)

... que ce serait possible et que ça ne poserait de problème à personne, honnêtement, tu pourrais baiser maman ?

C’était au tour de Laura de saisir le visage de son frère pour lui enfoncer sa langue dans sa bouche.

— C’est dur comme question. Je ne sais pas. Mais oui, c’est clair que je pourrais en avoir envie.

— Hmmmm, putain tu m’excites trop ! Allez viens là mon garçon, baise le cul de maman maintenant. Dit Laura, le regard joueur.

Laura venait d’écarter ses deux petites fesses pour inviter son frère à changer d’orifice.

— D’accord maman.

Maxime pénétra le cul de sa sœur sans perdre de temps.

— Aïe, tu me fais mal Maxime. Attends.

— Ta gueule maman. Ton fils a ses couilles à vider, c’est pas le moment de se plaindre.

Il saisit le visage de Laura et recouvrit sa bouche pour la faire taire pendant qu’il lui assénait de violents coups de reins.

— Tu voulais être baisée comme une pute ma belle, alors profite.

Laura se décrispa petit à petit puis fut éprise d’un plaisir qui se faisait de plus en plus intense. Elle se caressait le clitoris d’une main et s’enfonçait deux doigts dans la chatte de l’autre. Les deux frère et sœurs s’agitaient à l’unisson de plus en plus fort, ils s’embrassaient langoureusement, ils mêlaient leur salive à leurs fluides respectifs, quand tout à coup, Laura poussa un cri de soulagement. Elle jouissait intensément alors que son frère sortait son sexe pour se répandre sur son corps. ...

... Laura était recouverte du sperme de son frère. Mais elle n’avait même pas remarqué tant elle était encore en pleine extase. Maxime s’allongea à côté d’elle et l’embrassa tendrement.

— Hooo Maxime ! Putain c’était bon !

Alors qu’elle essuyait quelques traces de sperme pour les avaler, Maxime lui tendit une serviette qui traînait.

— Au fait, où est-ce qu’ils sont Marie et Mickaël ?

— Ils passent la soirée ensemble ce soir. C’est moi qui leur ai proposé qu’on échange les couples pour la soirée. J’avais envie de t’avoir pour moi toute seule. Ça ne t’embête pas ?

— Tu plaisantes ou quoi ? Pas du tout. Au contraire, t’as eu raison. J’imagine que Marie doit être contente elle aussi. Elle ne m’a jamais rien dit, mais ça se voit qu’elle kiffe bien Mickaël.

— Oui, j’ai remarqué moi aussi. Ça me saoulait au début, mais j’ai fini par trouver ça mignon. Dit-elle en embrassant délicatement son frère. Puis elle reprit. Ça te dit qu’on se couche ? Tu m’as épuisé à me faire jouir deux fois.

Maxime se recula sur le lit, attrapa la couette qui était restée par terre et éteignit la lumière. Laura s’allongea et repositionna les oreillers. Une fois allongée, elle tendit les bras en direction de son frère pour qu’il la rejoigne. Maxime vint alors se blottir contre sa sœur, la tête sur sa poitrine, pendant que Laura lui caressait les cheveux. Son petit frère releva un instant son visage pour l’embrasser délicatement et lui souhaita bonne nuit.