Nos pulsions taboues de couple (8) - Histoires de Sexe

Nos pulsions taboues de couple (8)

... Qu’est-ce qu’elle dirait maman de voir son petit garçon bouffer la chatte de sa sœur ? Hein ?! Qu’est-ce qu’elle dirait maman ?

— Mfouasjkfk. Baragouina Maxime, la bouche étouffée par l’entrejambe de sa sœur.

— Elle serait fière de voir que tu prends soin de sa fille. Elle trouverait que tu fais du bon travail, j’en suis sûr ! Continua à s’amuser Laura.

— Oui, elle serait fière de nous.

— Et à maman ? Tu lui montrerais ce que tu sais faire aussi ?

— Non, que à toi Laura, je suis ta chienne à toi.

Laura le gifla à nouveau.

— Mauvaise réponse mon grand. Mais tu as au moins compris que tu étais ma chienne. Si ! Tu lui boufferais la chatte à elle aussi !

Laura posa le cadre contre son bas-ventre, tournée face au visage de son frère.

— Regarde-la comme elle est belle. Regarde-la pendant que tu me bouffes le minou. Je veux que tu t’imagines que c’est elle qui te tient entre ses cuisses.

— Hmmmm.

— Ça te plaît ?

— Hmmmm.

— J’ai pas compris ? Ça te plaît ? dit-elle d’un ton agressif.

— Oui Laura, ça me plaît.

— Qu’est-ce qui te plaît ?

— De lécher la chatte de maman.

— Petit pervers ! Il baise sa sœur et veut lécher sa mère ! S’amusa-t-elle d’un air provocant avant de reprendre. Maintenant, viens là et baise-moi comme une pute. Tu as le droit de te lâcher maintenant. C’est même un ordre.

— Me lâcher ? C’est-à-dire ?

— Qu’est-ce que tu ne comprends pas dans le mot « pute » ? Je veux que ce soit moi la chienne maintenant ! J’ai ...

... envie de jouir en te laissant faire ce que tu veux de moi.

Maxime bondit presque tout de suite pour se mettre debout et gifla à son tour sa sœur.

— Tu me rends fou toi. Comment tu peux être si douce et si démoniaque à la fois ?

— C’est toi qui me rends comme ça. Ça fait tellement longtemps que je fantasme en imaginant que tu me baises !

Maxime poussa sa sœur qui retomba sur le lit parental. Il tira le petit corps menu de sa sœur par les jambes pour la rapprocher de lui qui restait debout face à elle. Il empoigna son sexe pour l’utiliser comme un pinceau et caresser le clitoris de sa sœur.

— C’est vrai, tu voulais qu’on baise depuis longtemps ?

— Oui, avec Mickaël on n’arrêtait pas d’en parler.

— Hmmm ça m’excite ! Moi aussi, en ce moment je n’arrêtais pas de penser à ça. Mais je croyais que j’étais taré !

— Mais on l’est ! On est bien des tarés. Mais j’y peux rien, je contrôle pas mes fantasmes. Et puis j’ai toujours eu des fantasmes bizarres comme ça. T’es pas la seule personne interdite sur qui j’ai fantasmé d’ailleurs.

— Tu fantasmes sur maman aussi, c’est ça ?

Après sa question, Maxime s’enfonça violemment dans sa sœur et l’embrassa passionnément, comme s’il ne voulait pas entendre la réponse tout de suite.

— De ouf ! Depuis longtemps en plus. Pourtant je suis pas attirée autant que ça par les femmes d’habitude. Mais y a quelques exceptions et maman en fait partie. Avoue qu’elle est trop belle maman.

— C’est clair.

— Si tu étais sûr ...