Ma mère et ma soeur, salopes et soumises (3)
Datte: 05/11/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Arthurian, Source: Xstory
... Les grosses mamelles de ma mère sont délicieuses, et le fait qu’elle lèche mon gland à chaque fois qu’il passe à sa portée ne gâche rien... Au bout de quelques minutes, je suis déjà prêt à tout lâcher.
Prudent, je préfère m’arrêter avant d’inonder son visage de mon sperme. Cela devra attendre encore un peu ! Pour le moment, je lui fais silencieusement signe de se retourner, puis je m’installe précautionneusement derrière elle et je glisse ma bite entre ses cuisses pour la pénétrer.
Je commence à insérer doucement mon gland dans la vulve bien écartée de ma mère. La pénétration est un peu difficile à cause de sa position et du fait qu’elle ne peut pas trop se mouvoir, mais ça ne fait que la rendre meilleure. Je progresse centimètre par centimètre en soupirant déjà de plaisir, à la fois parce que les sensations sont merveilleuses et parce que c’est quand même génial de baiser sa mère !
Elle commence bientôt à gémir malgré elle, gagnée par le plaisir. Je pose alors une main sur sa bouche pour la faire taire, tandis que je laisse l’autre scotchée à ses nichons, que je malaxe sans pouvoir m’en empêcher.
— Tu aimes te faire défoncer par ton petit chéri ? lui murmuré-je à l’oreille. Je viens te donner ta rasade de foutre du matin !
— J’adore mon chéri, mais fais attention : ton père est juste à côté !
— Je m’en fous de papa, t’es ma femme à moi maintenant. T’aimes ça baiser ton fils, hein grosse cochonne ?!
— Oui mon amour, si tu savais comme j’aime ça... Et je ...
... sais que ce n’est pas bien, mais que ça se passe dans mon propre lit avec ton père à côté... Mon Dieu quelle salope je suis !
C’est vrai, mais qu’est-ce que c’est bon d’avoir une maman aussi salope !
Les mouvements de ma verge à l’intérieur de sa fente commencent à produire des clapotis humides, signe qu’elle est déjà trempée. Mon père gémit un peu dans son sommeil tandis que notre baise s’accélère, mais il ne se réveille toujours pas. Notre coït devient progressivement bestial.
Je n’y tiens plus : je la fais se redresser et je la prends en levrette, juste devant son mari. Juste devant mon père. Son vagin n’est plus mouillé, il est inondé ; elle ondule du bassin en se cambrant bien comme une chienne, signe qu’elle adore se faire prendre par son fiston ; elle gémit même de plus en plus fort, incapable de se retenir, à tel point que ça finit par m’inquiéter : mon père grogne une nouvelle fois dans son sommeil, un peu plus fort cette fois.
Je m’arrête donc, ce qui provoque immédiatement une protestation de sa part.
— Qu’est-ce que tu fais ?! me demande-t-elle en chuchotant.
— Tu jouis trop fort, grosse cochonne, tu vas réveiller papa ! je lui réponds sur le même ton. Viens avec moi, on va continuer ailleurs.
Elle m’accompagne docilement. Elle est à croquer en petite nuisette qui ne cache pas grand-chose, si bien que je suis à deux doigts de lui sauter dessus de nouveau, mais je me retiens. Jusqu’à la chambre de ma petite sœur en tout cas.
Car oui : c’est ...