Ma mère et ma soeur, salopes et soumises (3) - Histoires de Sexe

Ma mère et ma soeur, salopes et soumises (3)

Je me lève le matin avec la tête encore pleine de souvenirs de la veille : nous avons baisé avec ma petite sœur, ou plus exactement je l’ai enculée, mais j’ai préservé sa virginité à sa demande. Pourtant, je sais que sa volonté sur ce point ne tiendra pas longtemps : maintenant qu’elle m’a bien chauffé et que la porte de l’inceste est ouverte, je ne compte pas la refermer !

Surtout que notre mère nous a surpris hier. Comme j’avais déjà couché avec elle, je ne me suis pas arrêté pour autant et j’ai continué à sodomiser ma petite sœur devant elle. Maman voulait participer, mais après m’être vidé une troisième fois dans le délicieux petit cul d’Alice, j’avoue que je ne pouvais plus. Alors je lui ai promis que la fête reprendrait demain. C’est-à-dire aujourd’hui...

Je me lève donc tout guilleret, puis je me dirige vers la chambre de ma mère. Une promesse est une promesse ! Sauf qu’une mauvaise surprise m’attend en poussant doucement la porte : mon père est rentré, sans doute au milieu de la nuit !

C’est pas possible, je veux encore goûter au corps de ma génitrice !

Incapable de résister, j’entre dans la chambre à pas de loups. Je fais attention autant que possible à ne pas faire de bruit, puis je contourne le lit parental pour me placer du côté occupé par maman. Je la regarde un instant dormir dans la pénombre, elle est magnifique en petite nuisette toute fine. C’est à peine si ses gros seins ne sortent pas du vêtement !

Soudain, ma mère se retourne et me regarde, ...

... ce qui me fait sursauter en lâchant un petit cri de surprise. Elle me fait signe de me taire en posant son index devant ses lèvres, puis elle jette un rapide coup d’œil pour vérifier que je n’ai pas réveillé mon père.

— Tu m’as fait peur, lui chuchoté-je.

— J’ai bien compris, me dit-elle, mais fais attention : et si c’est ton père que tu avais réveillé par inadvertance ?

— Aucune chance, il dort comme un ours !

C’est la stricte vérité : mon père est un gros dormeur, le genre qui vogue vers le pays des rêves à la seconde où sa tête touche l’oreiller.

Je tremble de peur à l’idée de réveiller mon père, ou peut-être est-ce uniquement d’excitation en pensant à cette grosse paire de loches si proche ? Quoi qu’il en soit, c’est fiévreusement que j’approche ma main envieuse de cette poitrine si désirée.

Quand ma paume se referme autour de la bonne mamelle de ma mère, c’est de plaisir que je frissonne cette fois. Putain que c’est bon ! Ses seins sont gros, fermes, pleins, ils emplissent toute ma main qui ne se lasse pas de les malaxer. Je repousse sa nuisette pour les laisser apparaître, puis je descends mon propre pantalon pour libérer mon sexe.

Pendant tout ce temps, ma mère me regarde faire sans un mot. Je commence à me masturber doucement en la matant, mais la présence si proche de son corps offert est une invitation que je ne peux pas refuser : je lui fais signe de se redresser, puis je glisse ma bite entre ses seins pour me branler dedans.

Que c’est bon ! ...