1. Alicia et son papa (30)


    Datte: 04/11/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Matt Demon, Source: Xstory

    ... au collier avant de serrer mes coudes ensemble, les liant avec une corde épaisse et forçant jusqu’à les coller. Je gémis et protestai pour la première fois :
    
    — Monsieur, vous me faites mal, je vous en supplie.
    
    — Patience, tes coudes se touchent. C’est la position de prière inversée. Ouvre la bouche.
    
    Matée, j’obéis et il plaça un appareillage en métal qu’il ouvrit avec un mécanisme cranté : mes mâchoires s’écartèrent jusqu’à me laisser bouche béante, incapable de la refermer un tant soit peu. Il noua serré une corde sur ma queue-de-cheval et tira vers le bas, si bien que je me retrouvai la nuque cassée en arrière à regarder le plafond. La suite, je la sentis mais ne vis rien. Il me montra juste un gode géant en forme de cône qu’il dut fixer au sol. Puis il enchaîna mes chevilles largement écartées et me fit agenouiller et m’empaler sur l’épais cylindre métallique. Je tentai de protester, mais ne pus qu’émettre un gargouillement affolé, alors que, incapable de me relever, je me sodomisais moi-même.
    
    Je commençai à pleurer quand la souffrance due à l’empalement devint intolérable, à mesure que je glissais vers le bas et que le diamètre du cône augmentait dans mes reins. Je criai et ruai quand Raul, qui avait dû passer une corde ou une chaîne dans mon anneau vaginal, étira avec vigueur ma vulve vers l’avant. Je hurlai carrément quand il me montra deux pinces crocodile en acier qu’il fit claquer sur mes aréoles turgescentes. Car, malgré la douleur et la peur, mon vagin ...
    ... ruisselait et mes seins projetaient indécemment leurs bouts gonflés.
    
    Je me cabrai sous la souffrance abjecte qui traversa mes tétons cruellement mordus, mais rien n’y fit : Raul étira mes seins avec des sandows fixés aux pinces, m’arrachant de nouvelles larmes. Une dernière pince en acier mordit ma cloison nasale, malgré mes dénégations ; il la relia à une chaîne descendant du plafond au-dessus de moi, parachevant mon immobilisation. J’avais déjà mal partout, les genoux qui pesaient sur le sol, les coudes, les épaules, l’anus dilacéré, la vulve étirée, les seins, le nez, la nuque… À travers mes larmes, je vis arriver l’ultime profanation quand Raul s’avança et plaça son énorme gland devant ma bouche béante.
    
    — J’ai vraiment envie de pisser, cette fois, avec tout le champagne que j’ai bu. Et tu vas tout boire, sinon je te massacre les seins au fouet. Bien sûr, tu feras pareil à mon père, je suis sûr qu’il en meurt d’envie.
    
    Je secouai la tête avant de comprendre que je ne pouvais échapper à cette nouvelle humiliation. Perdue pour perdue, je tirai la langue pour montrer que je me soumettais. Il commença à uriner lentement et je déglutis, essayant de ne pas m’étouffer. Tiède, salé, à peine âcre, le liquide emplissait ma bouche aussi vite que je buvais, d’ailleurs Raul stoppa pour me laisser reprendre mon souffle. Il écouta ma respiration oppressée se calmer un peu, sourit quand je tendis à nouveau la langue.
    
    — Bien, tu es une bonne fille, allez, bois encore…
    
    Il vida ...