Alicia et son papa (30)
Datte: 04/11/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Matt Demon, Source: Xstory
... J’étais fatiguée, j’avais mal partout après ce que m’avait fait subir Francky. L’œil allumé, il me regardait sans dire un mot, semblant me promettre encore mille tourments. Je frémis, mais j’étais assez lucide pour savoir qu’une petite partie de moi se délectait sous la contrainte.
Après avoir bu leur coupe de champagne, les hommes reprirent les hostilités. Monsieur Rodriguez me présenta sa verge dressée que j’embouchai pendant que papa me sodomisait à son tour. Comme les trois hommes venaient de jouir, je savais qu’ils allaient être encore plus endurants cette fois, mais ils se surpassèrent. En effet, ils se relayèrent dans mes reins pendant plus d’une heure pour éviter d’éjaculer trop vite. Avec tout le champagne bu, nous ruisselions de sueur ; ma peau était luisante et glissante sous leurs mains parfois caressantes, mais surtout brutales. Pendant tout ce temps, mon vagin ignoré inondait mes cuisses et les draps de cyprine. Je faillis jouir quand mon père se vida à gros traits dans mon anus complètement distendu, mais je mordis ma lèvre inférieure au sang pour éloigner l’orgasme.
Frustrée, je me laissai glisser en avant sur le drap souillé, vite couverte par monsieur Rodriguez, qui m’écrasa inconfortablement sous sa masse en même temps qu’il m’empalait.
— Je suis crevé, avertit papa. Je file me coucher, amusez-vous bien, tous les trois, mais n’abîmez pas ma fille.
— T’en fais pas, répondit Raul. Ta petite pute est résistante. Et puis ce soir, c’est la ...
... fête.
Et bien sûr, c’est MA fête. Et là, j’ai de quoi être inquiète. Traduction, je me retrouve seule aux mains de Raul et son père, je vais déguster grave. Quand je vois les yeux de Francky, je sais que la suite va être éprouvante. Je sais qu’ils n’iront pas jusqu’à me blesser ou me mutiler, c’est déjà ça. Papa a dit que je pouvais refuser à tout moment, mais en ai-je envie ? Je me demande s’ils vont seulement m’écouter, quand ils partiront dans leurs délires sexuels. Tant pis. J’aime tellement être poussée dans mes retranchements, je suis folle.
Raul m’a à nouveau sodomisée avant de me soulever et de me plaquer contre son torse et de se relever. J’étais dos contre lui, sans autre point d’appui que sa monstrueuse bite plantée dans mon fondement. Fataliste, je me laissai aller, comprenant bien que je n’avais aucune chance de lui échapper. Comme si je ne pesais rien, il sortit de la pièce et marcha jusqu’à la cellule qu’il ouvrit sans me lâcher. Il ouvrit la grille avant de me déposer.
— Ta première nuit, je veux que tu t’en rappelles toute ta vie. Tu vas la passer ici, mais je vais faire en sorte que tu souffres et comptes les minutes au lieu de dormir. Vu ?
— Oui Monsieur, répondis-je d’une voix chevrotante.
Sous le regard intéressé de son père, Raul ferma de gros bracelets de cuir à mes poignets et mes chevilles, les assura avec des cadenas. Il fit de même avec un large collier de cuir pourvu de plusieurs anneaux. Puis il remonta mes poignets dans mon dos et les fixa ...