Le hasard de la vie (1)
Datte: 03/11/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: Galaxie55, Source: Xstory
... folie de ce feu qui la consume. J’assume mon amertume et la disperse au caprice de la bise. Envoûtant moment, qui restera à jamais marqué, d’une pierre blanche scellée.
Cette sensationnelle demoiselle se relève péniblement, les joues rougies du passé bouillonnant. Elle se rhabille secrètement, observant les alentours de ses yeux de velours. Ils sont d’un bleu si pur, que tout marin serait happé par sa parure, ils viendraient tous s’échouer à ses pieds. Hypnotisé, je suis figé, le gouvernail en tenaille entre mes tentacules. Elle s’orne de sa toison de coton, une légère robe crayon, puis recoiffe sa fourrure ébouriffée. Je peine à remonter mon pantalon, obnubilé par cette vision.
Marchant promptement, elle descend sur cet accès inconnu. Intrigué, je la suis sur ce chemin pentu, voulant tester ce sentier, pour savoir où il va me mener. La route se dessine, je la vois au loin près des capucines, se baisser pour en cueillir une poignée. Puis elle disparaît dans les méandres de la terre, s’égarant dans les fougères, entre deux énormes blocs de pierre. Je m’active, pensant à des désagréments. Mais, en arrivant au belvédère, je ne suis plus en soucis. Ici bas une échelle, menant droit vers une piscine naturelle.
Caché derrière un arbre, je regarde en détail son galbe. Elle coulisse avec aisance, son enveloppe sur sa peau lisse, faisant saillir mon cyclope. Sa fine dentelle se dessine, de sa couleur intemporelle, couvrant de blanc ses parties usuelles. Elle glisse sa ...
... culotte entre ses cuisses et dégrafe son soutien-gorge, m’offrant à vue son teint d’orge. Elle veut se délecter de la féerie, de ce lieu sans vie, convoitant cette source nacrée. Emplit de pression, le vétuste bouton de mon pantalon tombe sur le terrain escarpé. Il roule, dégringolant la pente sans répit et mon falzar s’aplatit sur mes chevilles.
Étant piégé, je ne peux que contempler ce spectacle, impuissamment, mon attirail dévoilé surplombant la scène. Il s’arrête finalement, coulant à pic dans le lac, mouchetant de gouttelettes ses gambettes. La voilà qui s’affole, cherchant le pourquoi du comment. Elle détaille à la loupe l’allée, refaisant la route de ses prunelles. Constatant ma présence près de la falaise, cette muse s’apaise, me priant de venir en un signe distinct. Instinctivement je m’élance, laissant de côté la réalité très corsée, trébuchant à cause de mon pantalon, je roule aux pieds de ma fée.
Je me redresse avec toute la classe qu’il me reste et tressaille, en sentant cette soudaine proximité. Ma lady me sourit et de ses yeux les plus attendris, je n’arrive plus à m’en décrocher. Je prend dans mes mains son visage apitoyé et appose sur ses lèvres un voluptueux baiser. Elle me répond en parcourant mon dos, de ses mains délicates, en se recroquevillant contre mon torse. Elle me chuchote à l’oreille des mots sensuels, me dévoilant la flamme, qui la malmène depuis que je suis parti loin d’ici.
Vivant un rêve éveillé, elle s’agenouille pour m’adresser toute sa ...