1. Les vacances de Laure (5)


    Datte: 02/11/2021, Catégories: Hétéro Auteur: M. de Seingalt, Source: Xstory

    ... d’appeler entier. Sous son ventre, un membre déjà imposant était en train de prendre de l’ampleur, pendant que l’étalon, les oreilles dressées, les naseaux gonflés, essayait de capter l’attention de la femelle.
    
    Celle-ci s’arrêta, à une courte distance de Laure, lui offrant son profil. Elle avait la queue maintenant encore plus levée, ce qui offrait au regard sa vulve dilatée. L’étalon ne perdit pas de temps pour s’approcher, humer les effluves produites par la jument avec de plus en plus d’impatience. Son sexe était maintenant entièrement déroulé sous son ventre et agité de soubresauts.
    
    Le spectacle troubla Laure au plus profond de son corps. Elle agrippa la barrière, observant avec intensité le mâle poser sa tête sur le dos de la femelle et essayer de lui agripper le garrot. Le spectacle qui se déroulait sous ses yeux dégageait une énergie sexuelle irrésistible. Elle sentit son sexe s’humidifier, sa culotte s’humecter, sa respiration s’accélérer.
    
    Alors que l’étalon se dressait sur ses jambes postérieures pour monter la jument en chaleur, Laure sentit soudain des mains se poser sur ses hanches. Elle sursauta, et entama un mouvement pour se retourner, mais les mains la tenaient fermement et un corps se pressa contre elle, l’empêchant d’achever son mouvement. Elle se surprit elle même à ne pas résister et garda les yeux fixés droit devant elle, vers les équidés sur le point de s’accoupler.
    
    Les mains qui l’avaient saisie parcouraient ses flancs, puis son ventre, et ...
    ... pétrirent ses seins à travers la robe. La sensation était totalement enivrante, et elle s’y abandonna.
    
    Ce cochon d’Alain m’a retrouvé, se dit-elle, et maintenant il profite de l’occasion pour me trousser comme une soubrette. Quel salaud ! Je ne vais quand même pas le laisser faire ça à Constance.
    
    Mais elle ne bougea toujours pas, laissant une main descendre le long de ses cuisses et saisir le bas de sa robe, pendant qu’un corps masculin la pressait de toute sa longueur contre la barrière.
    
    Dans la pré, l’étalon avait réussi à monter la jument, et donnait des coups de queue désordonnés en essayant de trouver l’ouverture de sa vulve. Laure était fascinée. Elle sentit à l’intérieur de ses jambes le contact d’une botte qui l’obligeait à écarter les pieds, ouvrant ainsi un passage vers son sexe. La main qui était passé sous sa robe remonta le vêtement sur ses cuisses, puis sur sa taille, exposant son ventre a la brise. Elle sentit des doigts s’infiltrer sous le tissu de sa culotte, la faire glisser le long de ses jambes, tomber sur ses chevilles. Laure leva un pied après l’autre pour s’en débarrasser.
    
    L’homme se mit à caresser son clitoris avec habileté et à la doigter avec légèreté. Elle ne chercha même pas à dissimuler son excitation, que l’humidité de son sexe trahissait de toute façon, et laissa échapper un gémissement de contentement.
    
    Elle se souvint de l’épaisseur anormale du sexe d’Alain, et se mit à anticiper la pénétration avec un mélange d’appréhension et de ...