Je me croyais sage (9)
Datte: 01/11/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Mrnestpasla, Source: Xstory
... sexe et l’autre qui caresse son ventre et ses seins.
Alors que je m’apprête à dire je ne sais quoi à Diane, j’entends Marion qui commente.
— Hum, ça, c’est un gros bâton.
Et à peine a-t-elle fini que sa langue glisse de bas en haut et retour. La sensation est exquise. Tellement que j’en oublie que sa chatte est au-dessus de moi. Mais de toute évidence, Marion attend que je me mette à l’ouvrage et pose littéralement sa chatte humide sur mon visage. Ses grandes lèvres sont plus charnues que celles de Diane, même son clitoris est plus gros. Je glisse ma langue et en douceur, je pars à la découverte de son sexe, de son goût étonnamment proche de celui de Diane...
Ça y est, en prenant une part active à ce qui se passe, c’est comme si la digue était rompue. Je me lance et ne me retiens plus vraiment. Goulûment, mais tendrement, je suçote son clitoris, je le lèche, j’appuie dessus avec ma langue quand je ne la plonge pas tout simplement en elle, allant parfois jusqu’à son cul magnifique. Marion, elle, ne se prive pas non plus et bientôt, mon sexe disparaît dans sa bouche, mettant des petits coups de langue frénétiques sur le gland qui ne tardent pas à me faire me tortiller de plaisir.
Dans ma bouche, je sens Marion mouiller de plus en plus. Et j’aurais envie de me laisser aller, de jouir dans sa bouche. C’est d’ailleurs difficile de ne pas exploser quand elle aspire fort tout en allant et venant. Je suis à la limite de perdre le contrôle et je l’implore d’arrêter si ...
... elle ne veut pas que je jouisse.
Mais pour la première fois, Diane intervient et d’une main sur la tête de Marion, lui fait signe de continuer avant de se reculer et de reprendre ses caresses. Je dérape et ne tiens plus. Alors que Marion aspire encore, que le bout de sa langue frétille sur mon gland, je ne peux retenir mon plaisir et je jouis. Et dans ma jouissance, mes mains se mêlent aux cheveux de Marion et je la maintiens sur mon sexe, je m’enfonce dans sa bouche, je libère mon sperme en jets puissants et jamais je ne la sens me résister. Au contraire, au milieu de mes râles de bête en rut, j’entends ses gémissements de satisfaction, je la sens qui avale chaque goutte et aux limites de mon champ sensoriel, je perçois Diane qui se caresse avec frénésie et qui jouit dans des gémissements qui ajoutent encore à mon plaisir. Je la cherche de la main, mais elle se tient trop écartée de moi pour que je l’atteigne. Marion appuie sa chatte plus fort sur mon visage. C’est à peine si je peux respirer, mais je m’en fiche.
Mon plaisir s’atténue, mon corps se décontracte, mais Marion n’est pas arrivée au bout. Sans attendre, sans me laisser le temps de reprendre ma respiration, elle se retourne face à moi, et s’installe, mon sexe à la limite de son vagin, mon gland juste engagé entre les petites lèvres. Je me tourne vers Diane. Mon plaisir redescendu, j’ai un effet de reflux qui me fait paniquer. Qu’est-ce qu’on est train de faire ? Qu’est-ce qui se passe ? Et Diane qui me regarde ...