Découverte d'un étudiant (2)
Datte: 30/10/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Coquine-Aur, Source: Xstory
... des nuits blanches, un des profs eut la lumineuse idée de nous faire faire un projet d’études en chimie, en binôme. Louise eut le terrible déplaisir de me voir comme camarade de projet.
Elle vint me voir après les cours et, sèchement, me proposa de se voir à la bibliothèque afin de commencer le projet. J’acquiesçais, n’ayant aucune envie de la contrarier, vu qu’elle me battait toujours froid.
Dans la bibliothèque, nous nous sommes mis dans l’endroit le plus calme et reculé pour pouvoir parler. Rapidement, elle a proposé des choses, moi d’autres, nous avons échangé, et au final, pas mal progressé dans notre travail. Je me gardais bien de tenter quoi que ce soit de non scolaire, même si mes yeux se sont baladés vers ses seins bien mis en valeur par un col roulé fin plutôt moulant. Après trois heures de travail plutôt productif, nous avons été dérangés par le surveillant nous annonçant qu’il était 20h et que nous devions partir.
Nous avons ramassé nos affaires et nous sommes sortis, sac sur l’épaule nous retrouvant sur le parvis de l’établissement. Dans les derniers frimas de l’hiver, Louise restait élégante, malgré les couches de vêtements. Elle avait changé un peu son look, s’habillant de manière plus féminine, plus près du corps, même ses lunettes avaient changé de forme, lui donnant un air plus mutin, plus femme.
— Souhaites-tu que nous poursuivions nos travaux quelque part, osai-je ?
— Ça ira pour ce soir, j’ai du travail, trancha-t-elle avant de tourner les ...
... talons.
Elle partit vers son arrêt de bus et je partis à pied vers chez moi. J’avais le cœur un peu chamboulé, et j’eus besoin d’une bonne séance de masturbation pour évacuer mes angoisses du moment. Ce fut le visage de Louise, à genoux devant moi, ma queue sur sa langue qui me fit partir. Je la voyais accueillir mon jus sur ses jolis seins avant de l’étaler et de récolter la dernière goutte. Honteux de l’avoir associée à ça, je m’endormis rapidement.
Le lendemain, cours, encore usants et exigeants, ma tête semblait ne pas pouvoir ingurgiter tout ce qui devait y entrer. Les colles que je faisais me confirmaient des résultats tout juste passables, et mettaient à mal mon amour-propre vu mes résultats de l’an passé. J’ai proposé à Louise de bosser sur notre projet, mais vu l’heure, nous ne pouvions aller à la bibliothèque, je lui proposai chez moi.
— Mes parents sont à la maison, lui annonçai-je pour la rassurer, tu peux manger avec nous si ça te dit, nous aurons tout le temps de travailler après.
Elle fit mine de réfléchir et acquiesça.
Sans un mot échangé entre nous, nous regagnâmes le domicile familial. Mes parents lui firent un accueil chaleureux et elle se mit à sourire pour la première fois depuis longtemps. Ma mère fit un bon parmentier de canard pour que nous soyons calés pour le soir et nous prîmes congé en allant dans ma chambre, heureusement rangée.
Louise détailla mon univers, mes posters de groupes de musique au mur, ma guitare sur un pied près de ...