1. Francfort


    Datte: 27/10/2021, Catégories: fhh, extraoffre, lieusexe, Voyeur / Exhib / Nudismeition, Auteur: lexdepenny, Source: Revebebe

    ... demande Penny.
    
    Je n’arrive pas à lire ni son visage ni le ton de sa voix.
    
    — Ce n’est pas à moi de décider. C’est ton minou.
    — Pas tous, alors. Seulement lui.
    
    Pas tous ? L’idée n’avait même pas commencé à s’esquisser dans mon cerveau. Le tremblement presque incontrôlé dans la voix de Penny trahit qu’elle a donné tout de même un peu de réflexion à l’idée de permettre à plusieurs inconnus de la caresser, même si, finalement, elle s’est dégonflée. Il va falloir que je réfléchisse à cela…
    
    Penny avance d’un demi-mètre vers le garçon, puis s’arrête. Elle écarte ses pieds davantage en anticipation et acceptation claire et nette de son toucher. Elle relève à nouveau sa jupe et tend son bassin vers l’avant.
    
    Les pieds du garçon semblent être cloués au sol. Il manque de trébucher en avant quand il tend sa main, que je peux voir trembler, vers le sexe de Penny. Ses doigts tracent une raie dans sa toison épaisse, et glissent dans la fente de ma femme. Penny lâche un grognement presque bestial. Ses genoux fléchissent, ce qui me dit que le garçon a atteint le point le plus sensible. Il retire sa main et regarde, bouche bée, le jus qui dégouline de ses doigts. Penny fait un geste de négation de sa tête, lâche l’ourlet de sa jupe et recule.
    
    — Pete ? Le train ! dit-elle en se dirigeant vers la sortie.
    
    Je la suis jusqu’à la gare et l’on monte dans le train. Pendant tout le trajet pour rentrer chez nous, Penny reste assise bien droite, les genoux serrés l’un contre l’autre. Ça lui donne un air de sainte-nitouche, mais ma cuisse contre la sienne me fait comprendre qu’elle contracte et relâche sans arrêt ses muscles pour mieux comprimer son sexe.
    
    Nous n’en parlons pas cette nuit-là, mais la baise déchaînée qui nous laisse épuisés rend les paroles superflues. Cet incident au sex-shop trouvera vite sa place parmi nos fantasmes.
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