Francfort - Histoires de Sexe

Francfort

... tremblement qui m’encourage à tenter ma chance. Je l’aide à enlever son petit boléro noir. Elle ne résiste pas.

— Tu ne vas tout de même pas garder ton chemisier ? Ça gâcherait tout l’effet.

Pendant cinq secondes, je n’ose pas respirer. Penny ne bouge pas. Elle ne me regarde pas non plus. Puis elle commence à défaire les boutons de son chemisier, d’un air résigné. Les ados ont abandonné les vidéos pour ce show en live. Je leur fais signe de ne pas trop s’approcher et ils s’arrêtent à deux mètres de nous. Leurs yeux sont fixés sur mon épouse qui enlève le chemisier ouvert et me le tend, en échange du haut bleu. Comme j’avais deviné chez nous, Penny porte un soutien-gorge balconnet en dentelle qui soulève et sépare les 85B de ses seins. La blancheur de son soutif met en valeur sa peau de Latine, et j’entends des murmures d’appréciation derrière moi.

Penny met le haut. Le tissu un peu brillant tombe superbement bien sur son torse presque nu. Qu’est-ce qu’elle est belle ! Mais…. La tentation est trop forte pour moi.

— L’effet est joli, vous ne trouvez pas, messieurs ? Ne pensez-vous pas qu’elle serait encore plus belle sans soutien-gorge ?

L’opinion est unanime. Ils ont envie de voir les seins nus de Penny. Moi, aussi. Je me retourne vers elle.

— Qu’en penses-tu ?

Elle ne dit rien, enlève le haut bleu et me le tend de nouveau. Osera-t-elle ? Elle passe ses mains derrière son dos et défait son soutif. D’une main, elle le garde en place alors qu’avec ...

... l’autre, elle me reprend le haut, y enfile sa tête et le laisse descendre sur son corps. Elle lâche le soutif et nous avons droit à une Penny torse nu sous le haut qui ne cache rien de ses jolis seins, avec leurs tétons qui pointent à vouloir crever, dirait-on, le tissu. Elle reste dix secondes comme ça, immobile et avec le regard fixé vers le plafond, puis elle me reprend son soutif et son chemisier, nous tourne le dos, enlève le haut et se rhabille. Elle commence à fermer les multiples boutons.

— Il me plaît, je le prends. Un souvenir de Francfort, me dit-elle.

On va à la caisse et je paie. Penny fourre le haut dans son sac à main.

— Allo, Bitte ?

C’est un des adolescents qui me parle. Il a entendu que je parlais allemand et cela lui a peut-être donné du courage.

— J’ai une question.
— Ah, oui ?
— La dame… porte-t-elle une culotte sous sa jupe ?

Je traduis la question pour Penny. Ses yeux s’ouvrent en grand. Je me retourne vers le garçon.

— Question intéressante. Pourquoi la poses-tu ?

Sa voix tremble un peu.

— C’est que… je me demandais, et puis mon copain m’a défié de poser la question.
— Qu’est-ce qui te fait penser qu’elle pourrait ne pas en porter ?
— Eh bien… elle est dans un sex-shop… et tout et tout. Une femme ordinaire ne viendrait pas ici… non ? balbutie-t-il en jetant un coup d’œil presque désespéré vers les autres.
— Logique, mais faux. Penny ? Il veut que tu lui montres ta culotte. Qu’est-ce que tu dis ?

J’entends son aspiration ...