Mon ascension sexuelle (6) - Histoires de Sexe

Mon ascension sexuelle (6)

... seins... ?

Pour lui répondre, j’enfouis ma tête entre ses seins et la bouge de droite à gauche, puis les embrasse. Julia a la poitrine la plus belle que je n’ai jamais vue. Sa poitrine est d’un bonnet C, qui avoisine le D. Ses tétons ne sont pas très gros. L’aréole, très circulaire, entoure proprement son mamelon. Ses seins sont bien ronds et fermes. Je ne dis pas que je suis un fan absolu des gros seins. Mais avec une poitrine plus petite, j’ai l’impression qu’on peut moins s’amuser.

Julia se met alors à quatre pattes et m’invite à la pénétrer. J’agrippe donc ses hanches et lui insère ma bite. Je commence par de légers va-et-vient. Elle semble apprécier ça, mais j’ai comme le sentiment que je peux en faire plus. En effet, je décide d’accélérer la cadence et la pilonne plus sauvagement. Il s’avère que ses gémissements et sa respiration deviennent de plus en forts, montrant ainsi un plaisir plus intense.

— Oui, comme ça ! Je te sens bien, c’est bon ! Han...

Je décide alors de garder ce rythme et pénètre Julia à vitesse constante. Puis je décide d’essayer quelque chose. Je retire ma bite, puis l’insère à nouveau, plus ou moins vigoureusement, de manière aléatoire.

— Ohhh, on ne me l’avait jamais fait, ça. C’est plutôt pas mal. Mmm...

Ensuite, après avoir utilisé cette manœuvre, je décide de la baiser en continu, mais plus ...

... fort. Je sens que Julia, aime les coups de reins vifs. J’agrippe alors fermement ses hanches et la pilonne sauvagement, mais pas brutalement, afin qu’elle me sente bien en elle.

— Oui, oui, c’est ça ! Vas-y, vas-y, continue, plus fort, han...

Je décide alors d’accélérer la cadence, pour la baiser comme elle le souhaite. J’ai beau avoir participé à une partouze avec l’A. E. E. S, ce rapport sexuel est le plus intense que j’ai eu jusqu’à maintenant. Je n’arrive, malheureusement, pas me retenir, et dans le feu de l’action, je donne un coup de reins assez brutal à Julia, qui se conclue par ma jouissance. Je me retire alors d’elle, et m’allonge sur le lit, épuisé. Julia s’allonge auprès de moi et semble plutôt satisfaite de notre rapport.

— C’était vraiment pas mal du tout, me dit-elle, d’une respiration saccadée.

— Ah, ouais...

— Oui, pour ta première fois, tu t’es super débrouillé.

— Ah, merci.

— Non, c’est moi qui te remercie. Cette fin de soirée était fabuleuse. Je ne suis pas déçue d’être venue vers toi.

— Je, écoute Julia, j’ai...

— Oui.

— Hein ?! Oui quoi ?

— Oui, j’aimerais bien devenir ta copine.

Après ces dernières paroles, je souris puis m’endors sur-le-champ. Je soupçonne Julia de m’avoir regardé quelques instants, avant de s’assoupir aussi. Et c’est ainsi que s’achève ma première nuit avec Julia.