Mon ascension sexuelle (6) - Histoires de Sexe

Mon ascension sexuelle (6)

... main sur son bas-ventre, pour la caresser. Elle s’empresse d’attraper ma main, et de la guider jusqu’à ses seins, pour m’aider à les caresser. Je sens vraiment que Julia apprécie ce que je lui fais. C’est pour ça que je suis surpris lorsque d’elle-même, elle m’a retiré. Mais c’était pour une raison particulière.

— C’est bon. J’ai envie que tu me prennes, maintenant !

Je n’arrive pas à réaliser ce qu’elle vient de dire. Mais bon ça aurait été dommage de s’arrêter là. Je vais enfin réaliser ma plus grande envie, faire l’amour à Julia. Elle enlève donc sa culotte et sors une capote. Puisque j’ai un peu débandé, elle n’hésite pas à me branler pour me faire durcir, puis s’empresse d’enfiler le préservatif. Elle se couche ensuite sur le dos, puis m’embrasse avant de me dire :

— Allez, viens maintenant. Ne t’en fais pas, je vais te guider pour commencer.

Pensant que c’est ma première fois, elle prend ma bite pour l’insérer en elle, puis j’effectue un premier mouvement en avant. C’est fait, je pénètre enfin Julia.

— Mm... Je suis vraiment contente d’être ta première.

— Euh, moi aussi...

Après ce bref échange, j’entame mes va-et-vient à l’intérieur de Julia et c’est vraiment plus qu’agréable. Faire l’amour à la femme qu’on aime est vraiment différent que d’en baiser une autre.

Je baise alors Julia comme elle le mérite, pour lui faire plaisir. Comme pendant les préliminaires, elle aime les baiser dans le cou, je réitère donc l’opération pendant ma ...

... pénétration. Il semble que ça lui fasse plus d’effet. Elle gémit encore plus fort que tout à l’heure.

— Han, oui, tu te débrouilles bien...

J’accentue alors le plaisir de Julia en lui caressant les cuisses, comme elle aime. Ces caresses, plus les baisers dans le cou et la pénétration, paraissent lui faire vraiment du bien. Mais jusqu’à maintenant, je n’ose pas la pénétrer trop fort. Je veux voir comme elle réagit avant d’y aller plus nettement. Je prends alors l’initiative d’accélérer mes mouvements, ce qui ne lui déplait pas visiblement.

— Ha, han, oui, comme ça. C’est bon continu, ne t’arrête pas, vas-y.

Je garde alors ce rythme un moment, avant que Julia stoppe mes mouvements avant de me dire très franchement :

— Je veux que tu me prennes en levrette. C’est ma position préférée.

Nous sommes donc tous les deux assis sur le lit, face à face, s’embrassant et s’enlaçant. Pendant que cette fois, c’est elle qui m’embrasse le cou et le haut du torse, je profite de cet instant pour la sentir, ainsi que le contact de sa peau contre la mienne. C’est dingue, ce qu’elle sent bon. J’administre des caresses légères sur le dos, puis tente de dégrafer son soutif. Maintenant que j’y pense, je ne l’ai jamais fait. J’ai baisé Valérie en sous-vêtements, et pendant la partouze, elles se sont déshabillées elles-mêmes. Je ne veux pas me ridiculiser, mais par miracle, j’y parviens. Ce n’est pas si compliqué.

— Pas mal, si tu ne t’es jamais entraîné. Alors, tu les aimes, mes ...