Nymphomane, moi ? Tome III (10)
Datte: 23/10/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Trixie, Source: Xstory
... si tu veux bien !
Le vieux Louis s’allongea à côté de moi, son énorme queue à moitié rigide reposa sur le haut de ma cuisse, juste après la limite du bas. Sa main gauche calleuse aux ongles sales se posa sur ma cuisse droite et il la passa sous la lanière du porte-jarretelles, puis lentement, il la fit remonter et me caressa le ventre sous la mince bande de tissu de dentelle blanche. Elle redescendit sur ma chatte et son index et son majeur entrèrent dans ma vulve. Ses lèvres se posèrent sur les miennes, sa langue fouilla ma bouche, nos salives se mélangèrent. Alfred me demanda d’écarter un peu plus les jambes, j’obéis. Le paysan en profita pour entrer les quatre doigts de sa main, tandis que son pouce frotta mon clitoris en petits cercles concentriques. Je gémis de plaisir. Ma chatte écartelée ruissela, son pouce quitta mon clito et vint s’adjoindre aux autres doigts, il poussa doucement la moitié de sa main dans mon vagin.
— Putain ce que tu es bonne, petite salope. Tiens, lèche ton foutre sur ma main. Je suis émerveillé par tes prouesses sexuelles !
J’étais presque dans un état second, avec application, ma langue essuya sa main. Il se mit à genoux face à Alfred. Sa bite avait maintenant une proportion phénoménale, le bout de son méat atteignait presque son sternum. Je me mis à genoux, il la baissa d’une main et me demanda de le sucer, pour me dit-il la faire durcir encore un peu. Je lui léchai le pourtour du gland lentement en l’humectant avec ma salive.
— ...
... Prends-la dans ta bouche.
Ce que je fis, et je commençai à avaler cette immense hampe. Il posa la main derrière ma tête et appuya doucement pour faire glisser son pénis dans ma gorge.
— Woouuuaaahhhhhh, c’est merveilleux, tu vas arriver à tout avaler. Doucement, doucement, ne me fais pas éjaculer, pas encore !
Malgré ma bonne volonté et les encouragements d’Alfred, je ne parvins pas à avaler entièrement cet énorme boa. Louis me positionna sur le côté, me fit poser le pied-droit sur son genou, comme cela, Alfred était vraiment un spectateur privilégié pour la pénétration qui allait suivre. Il écarta au maximum les lanières de ce qui me servait de soutien-gorge, elles compressèrent mes deux globes et les firent durcir. Ses deux énormes couilles reposaient sur sa cuisse, il attrapa de sa main droite sa monstrueuse bite et présenta le gland à l’entrée de mon orifice vaginal, je frémis de plaisir, attendant avec impatience cette longue et démesurée pénétration, il dut le sentir.
— Alors petite Salope, on est impatiente de recevoir l’énorme bite du vieux Louis, tiens voilà. Tu la sens entrer dans ta chatte ? Elle est grosse, hein ? Elle te plaît, putain ce que tu mouilles, doucement, doucement. Elle entre toute seule. Mais ta chatte commence à la connaître, ce n’est pas la première fois, petite Pute et tu l’aimes toujours autant !! Je suis là, aussi étonné de pouvoir enfiler la totalité de ma bite ?
Tout en parlant, il enfonça par petits à coups qui me tirèrent des ...