1. Nymphomane, moi ? Tome III (10)


    Datte: 23/10/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... restai bouche bée, mais encore une fois, c’était qui lui décidait. Je fus émoustillée, je ne pus qu’obéir, enfin, c’était ma mauvaise conscience qui me fit penser ça. Au fond de moi vint se réveiller une espèce de convoitise physique pernicieuse. Je les avais déjà invités tous les deux pour fêter l’anniversaire de son neveu Maxime. Je n’avais pas été déçue du résultat, Maxime non plus !
    
    Il me fit mettre nue, ouvrit le paquet. J’enfilai des bas blancs, un porte-jarretelles très fin en dentelle. Il me fit revêtir un string blanc, une large ouverture, laissait apparaître ma chatte et mon petit triangle de duvet bien épilé très ras. La fente se prolongeait jusqu’à mon anus qu’elle laissait découvert, lui aussi. Un soutien-gorge où sur chaque sein deux minces bandes de tissu en dentelle blanche encadraient mes aréoles aux mamelons dressés se rejoignaient ensuite derrière mon cou. Il me fit chausser des talons aiguilles blancs. J’étais extrêmement bronzée, cette lingerie mettait mon corps en valeur.
    
    — Voilà, parfait... Qu’en pensez-vous Victor ?
    
    — Très bien Monsieur. C’est parfait. Dit-il d’une voix légèrement tremblotante, sachant très bien pourquoi Alfred les avait invités ! Mais il me semble entendre leur camionnette.
    
    Alfred s’approcha de moi, écarta les bandes de tissu sur mes seins, pour bien libérer mes mamelons. Il élargit au maximum la fente du string pour dégager ma chatte et l’offrir aux regards des visiteurs.
    
    — Voilà, Trixie tu peux aller leur ...
    ... ouvrir !
    
    Un coup de sonnette retentit. J’ouvris la porte, c’était bien les deux paysans en salopette bleue qui se tenaient derrière celle-ci. Je les regardai, il y avait longtemps que je ne les avais pas vus. Mais ils étaient toujours aussi laids. Le père avait environ soixante-quinze ans maintenant, il était toujours aussi maigre et sec, le visage ridé, en lame de couteau barré par une moustache, le crâne dégarni, des sourcils broussailleux, sur des arcades proéminentes, une légère odeur de vinasse émanait de lui.
    
    Son fils était un homme d’environ quarante-cinq ans, corpulent, avec un embonpoint conséquent, les cheveux très courts, pas rasé, des bajoues, un double menton, un nez assez épaté. Il était légèrement plus petit que moi. Il avait toujours une salopette dont la fermeture éclair était descendue jusqu’à ses poils pubiens et laissait apercevoir une touffe noire de crins crépus. L’ouverture dévoilait un torse velu, la salopette était assez poussiéreuse, et sentait la transpiration. On pouvait les qualifier de répugnants.
    
    Mais ils avaient quelque chose qui supplantait leur laideur, mes yeux se portèrent sur cette ’’chose’’ qui me faisait fantasmer. Ils me regardaient avidement et deux énormes bosses commencèrent à prendre forme le long de leurs cuisses. Ils devaient être nus dessous. La pensée de leurs sexes en érection me chauffa le bas-ventre, je commençai à mouiller en pensant à ce qui allait sûrement suivre, les expériences précédentes autant avec le père qu’avec le ...
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