Nymphomane, moi ? Tome III (10)
Datte: 23/10/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Trixie, Source: Xstory
... indifférente !
— Il a raison ce vieux salaud, pensai-je, sa bite me rend folle, bien qu’il soit d’une laideur repoussante !
— Oui, je sais comme je vous l’ai déjà dit, elle m’a raconté vos exploits, c’est pour m’en assurer que vous êtes ici.
Son fils, dont la combinaison était déjà bien ouverte, commença à se déshabiller rapidement, Alfred put ainsi « admirer » ses pectoraux poilus qui ressemblaient à une petite poitrine féminine, les triples bourrelets de son ventre, la touffe de poils noirs, rêches et fournis, qui partant de son sexe s’étalaient sur les replis graisseux de son abdomen. Même ses épaules étaient recouvertes de pilosité. Mais c’est son pénis qui fascinait. Il était en érection, il devait mesurer entre quinze et vingt centimètres, son gland décalotté mauve foncé était assez pointu, puis s’évasait en une large corolle d’au moins cinq centimètres de long jusqu’à la couronne bien marquée et très saillante, ce qui procurait des sensations exquises sur les parois vaginales, au moment de la pénétration ou de la rétractation lors du coït.
Son prépuce étiré était d’un brun clair, le corps du membre très brun était étonnement massif, il était largement aussi gros que le poignet d’un homme normal, de petites vésicules le parsemaient. De grosses veines apparentes striaient sa surface, son scrotum ridé pendait assez bas et contenait deux testicules presque aussi gros que des œufs de poule.
Je regardai Alfred, une sorte de rictus de dédain, sûrement dû à la ...
... laideur des deux hommes, déforma sa bouche, mais ses yeux brillèrent de convoitise en attendant la suite du spectacle. Il était comblé par la laideur des deux épouvantails et la monstruosité de leurs sexes. Il avait adoré m’entendre lui raconter mes frasques avec les deux énergumènes, et il allait maintenant voir sa magnifique blonde baisée par ces deux monstres. Je lui avais avoué que j’aimais cela. Sa libido allait être comblée !! Et puis Victor était là, il regarderait lui aussi mes ébats avec ces personnages repoussants, et cela me plaisait énormément d’attiser sa jalousie, car je le savais amoureux de moi, et les séances de baise qui succédaient à ces exhibitions n’en étaient que plus intenses.
Ludo, car c’était son nom, dégageait une odeur aigre de transpiration. Son allure générale, son faciès, son hirsutisme me firent penser à un primate. Mais, malgré la grosse répulsion que j’éprouvai, la bestialité qui émanait de lui exacerbait mes sens, une sensation glauque et malsaine me chauffa le bas-ventre, ma chatte fut trempée. Je cédai encore une fois à ce désir répugnant, en me donnant comme mauvaise excuse que je devais satisfaire les pulsions d’Alfred, qui se donnait un mal fou pour satisfaire tous mes désirs.
Il s’extirpa de sa salopette et se tint gauchement. Je m’approchai, cette fois, ce fut moi qui l’enlaçai, je frottai mes mamelons durcis contre la toison étonnamment douce de sa poitrine, une décharge électrique me traversa le corps. Je lui saisis la bite et ...