Elena à genoux (5)
Datte: 22/10/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: DarryllPauvert, Source: Xstory
... moins drôle et fructueux pour toi si tu ne te touchais pas.
— OK, tu as raison. Oh putain, j’ai besoin d’un autre Martini.
— Non, tu as assez bu. Allez, on commence. Prête ?
— Prête !
— Bien. Pour commencer, tu dois reconnaître la vérité de ton corps. Ton corps est fait pour être caressé, empoigné, secoué et pénétré de toutes les manières imaginable par les hommes.
— heuuuuu.
— Laisse-toi aller Sylvaine, c’est un jeu. Il faut jouer le jeu ou alors ça n’a pas de sens. Je reprends. Ton corps est fait pour être caressé, empoigné, secoué et pénétré de toutes les manières imaginable par les hommes.
La jeune femme qui avait commencé à toucher sa chatte dont le contact étrange, lisse comme jamais, l’excita immédiatement, répondit sans hésitation cette fois-ci.
— oui.
— Bien. Tu vas désormais m’écouter sans m’interrompre et dire seulement oui ou non après que j’aurais fini de parler. Tu es dans la salle de pause de la boîte. 10 hommes sont autour de toi. Tu es libre d’imaginer qui tu veux, mais c’est important que tu aies des sentiments hostiles pour la moitié au moins, et que l’un d’eux soit Pierre, tu sais, le gars que tu as vu entrer dans mon bureau.
— ... Oui.
— Bien. Tu es debout, nue au milieu de la pièce dont les meubles ont été poussés sur les côtés. Pierre est celui qui commande, qui te commande, qui dit aux autres ce qu’ils ont le droit de ...
... faire ou pas.
— ... Oui.
— Il te demande d’ouvrir les cuisses légèrement et de croiser tes bras au-dessus de ta tête. Dans cette position, tes seins pointent vers le haut et ton cul se cambre. Ta petite chatte reste close, mais s’offre à la vue de tous sur toute sa longueur si on regarde par en dessous, ce que font plusieurs hommes.
— Oui.
— Pierre glisse son doigt entre tes lèvres. Il dit à ton oreille, mais chacun peut l’entendre : « Tu es toute humide petite salope. Ça te plaît d’être à poil devant nous hein ? »
— Oui.
— Touche-toi comme tu aimerais que Pierre le fasse.
— Oui.
— Il te saisit par les cheveux et te force à t’agenouiller. Sans lâcher tes cheveux, il se déboutonne le pantalon, le laisse tomber sur ses chevilles et baisse son slip blanc qui délivre une grosse queue en semi-érection. « Bouffe pouffiasse ». Il te fait avaler sa bite aussi loin que possible et commence à aller et venir dans ta bouche.
— Oui.
— « Tu vois, dit-il, ce n’était pas la peine de faire toutes ces manières pour finir à genoux, mains sur la tête à me sucer devant tout le monde, petite féministe de merde. Tu vois bien que tu es plus à ta place comme ça, en n’ouvrant ta grande gueule que pour bouffer des bites hein ?
—... Oui. Oui. Oui. Oh putain Elena, j’ai déjà envie de jouir.
— Pas question ! Tu ne jouiras que lorsque je t’y autoriserai.
— Hhhhh oui.