La fac, ses plaisirs et ma soeur... (5) - Histoires de Sexe

La fac, ses plaisirs et ma soeur... (5)

... premier acteur que je me reçois un paquet de chantilly en pleine figure.

— Temps écoulé ! crie-t-elle en s’esclaffant de rire.

— Tu viens vraiment de faire ça ?

Aucune réponse à part son rire ininterrompu.

— Tu vas le regretter ma sœur !

En quelques secondes, je débarrasse l’ordinateur du lit afin d’être plus libre dans mes mouvements.

Consciente du sort que je lui réserve, elle serre alors la chantilly contre elle de toutes ses forces.

Je plonge alors contre elle dans le but de récupérer la chantilly, ses seins frottent contre mon corps, je lutte pour récupérer le tube quand tout d’un coup, j’appuie sur la capsule, ce qui libère la chantilly directement sur le visage et le corps de ma sœur.

Elle ne s’arrête plus de rire et de gesticuler dans tous les sens.

Je suis au-dessus d’elle au moment où je prends conscience que ses seins sont sortis de leur prison. Ses magnifiques seins sont recouverts de chantilly et se secouent dans tous les sens. Je ne bouge même plus, je profite juste du spectacle sans qu’elle ne se rende compte de rien.

Déconcentré par ce spectacle, je ne fais plus attention aux gestes de ma sœur. C’est alors qu’elle donne un violent coup de bassin qui me déséquilibre sur elle. Je me rattrape comme je peux. Ma main droite tombe à quelques centimètres de son visage tandis que le gauche agrippe fermement son sein gauche. Mon sexe dur est collé contre son ventre et sort quasiment de mon pyjama. ...

... Nos visages sont à quelques centimètres l’un de l’autre.

Elle ne rigole plus. Je ne bouge pas. Nos deux respirations sont haletantes, mais aucun bruit ne sort de nos bouches. J’ai l’impression que ce moment dure une éternité. Ses yeux scrutent mon visage qui doit être aussi rouge que le sien. J’ai envie de serrer ma main sur son sein tout en l’embrassant langoureusement. Je sens mon sexe se contracter contre son corps. Elle doit le sentir.

Elle rigole de nouveau, ce qui me ramène à la réalité. Je me redresse immédiatement et me glisse sous la couette. Qu’est-ce qu’elle va penser de moi, j’espère que je ne lui ai pas fait peur.

— Tu es vraiment devenu un homme petit frère.

Est-ce qu’elle parle de mon sexe ? Ou alors de ma main baladeuse ?

— Fini l’époque où j’avais le dessus sur toi.ajouta-t-elle en réajustant ses vêtements.J’arrive, je vais me rincer.

A peine est-elle sortie que je me rends compte de ce qu’il vient de se passer. Elle doit me détester. Me prendre pour un pervers c’est sûr.

Quelques minutes plus tard, elle revient.

— Ton lit est dans un état à cause de moi, je suis désolée.

— Ah c’est pas grave, t’inquiète pas.

— C’est pas grave, mais tu vas pas pouvoir dormir dedans ce soir. Allez file te rincer et tu viens dormir dans ma chambre !

Est-ce que je rêve ? Elle me propose de dormir avec elle ? Comme si rien ne s’était passé ?

Je rejoins alors la salle de bain sans opposer plus de résistance.