La fac, ses plaisirs et ma soeur... (5) - Histoires de Sexe

La fac, ses plaisirs et ma soeur... (5)

... de ses pas laisse remuer ses seins qui tirent le tissu rose qui les recouvre. Ses tétons sont facilement visibles dans cette tenue.

— Alors tu as trouvé le film ? Tu as l’air ailleurs là !

— Euh oui j’ai trouvé, c’est un film allemand, l’affiche et le casting ont l’air sympa. Ça te va ?

— Oui parfait ! Installe tout ça sur la télé, je vais préparer le dessert.

— Je fais ça.

Après avoir branché tous les câbles, je tente de faire la connexion avec la télé, mais rien ne marche. Je ne suis pourtant pas incapable, ça devrait marcher !

Ma sœur revient en me demandant pourquoi la télé n’est toujours pas allumée.

— Impossible à allumer, je sais pas ce qu’il se passe. Répondis-je un peu énervé.

— Ah non, ça va pas nous gâcher la soirée, hors de question. On regarde le film sur l’ordinateur, c’est pas grave.

— Si ça te va, pourquoi pas.

— ça te dérange si on va dans ton lit du coup ? On ne va pas voir grand-chose si on reste dans le canapé.

— Non pas de soucis, je vais m’installer, je t’attends.

En disant ces mots, je ne peux m’empêcher d’imaginer ma sœur à côté de moi dans mon lit dans cette tenue. Mon sexe commence déjà à se tendre. Je me glisse alors sous la couette pour ne pas me faire remarquer.

— J’arrive !Annonce ma sœur de l’autre côté de la porte.

Elle tient un plateau dans les mains avec deux bols de glace à côté desquels se trouvent des fraises et de la chantilly.

— OK c’est une bonne surprise ! Je vais me régaler là.

Elle ...

... pose alors le plateau sur ma table de chevet avant de se retourner pour éteindre la lumière de ma chambre et fermer la porte.

Une fois la lumière éteinte, elle me rejoint sur mon lit en escaladant maladroitement le bord. Chacun de ses mouvements me permet de discerner quelques centimètres en plus de son corps.

— Me voilà, on peut commencer !dit-elle après s’être glissée sous la couette à son tour.

Une fois les glaces terminées, ma sœur se met dans une position un peu plus confortable pour elle. Et pour moi aussi d’ailleurs. Elle colle ses jambes contre les miennes pour se réchauffer et son décolleté m’hypnotise. Je ne regarde même plus le film, je n’ai qu’une envie, c’est de retirer ce bout de tissu ridicule qui renferme ses seins. Je commence même à me demander si la vue qu’elle me donnait n’est pas volontaire. Mon sexe se tend de plus en plus. J’essaie alors de le mettre sur le côté dans une position qui ne dévoilerait pas trop l’état dans lequel je suis.

A ce moment-là, j’entends ma sœur soupirer.

— ça va pas ?lui demandais-je.

— Il est nul ton film !

— J’osais pas le dire, je suis désolé. Tu veux faire autre chose ?

— Tu as 5 minutes pour trouver un autre film ! Il a intérêt à être mieux cette fois. Et passe-moi la crème chantilly et les fraises restantes pour te faire pardonner.

Je m’exécute et cherche alors un nouveau film. Les pages défilent jusqu’à ce que je tombe sur un film qui pourrait me plaire. A peine ai-je eu le temps de lire le nom du ...