1. Une journée qui commence mal. Un jour de plus !


    Datte: 20/10/2021, Catégories: fh, fhh, couple, couplus, candaul, boitenuit, fête, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, Oral 69, préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, yeuxbandés, confession, totalsexe, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... ?
    — Non, bien sûr que non. À propos, je dois te dire que les filles aussi m’ont questionnée. Ce qui est certain, c’est qu’ils ont dû se donner le mot pour nous convaincre.
    
    Non, merci. Nous répondons.
    
    Non, merci. Nous répondons.
    
    — Ils ont de l’imagination. On ne peut que le reconnaître.
    
    Non, merci. Nous répondons.
    
    — Tu savais qu’il existait ce genre de soirée ?
    — Non.
    — Tu n’as pas besoin de cours pour cela, Chérie.
    — Merci, c’est grâce à… Oh, excuse-moi.
    — Tu voulais dire, Régis. Je sais ce que je lui dois… Mais on pourrait dire à Jean de s’y inscrire. Après tout, l’autre soir il en avait besoin.
    
    Nous rions de bon cœur, revoyant ce que nous avions découvert chacun de notre côté. Ce barbu poilu avec une belle bite de mec dans son fondement et une autre dans la bouche. Quel spectacle !
    
    — Ça, c’est avec toi que je l’ai découvert.
    
    Il ne désarme pas. Malgré nos « Non merci », il insiste. C’est presque devenu un jeu entre lui et nous. Mais entre nous aussi. Si nous refusons toujours, il est évident que toutes ces propositions nous perturbent un peu. Dans le bon sens, car sans nous l’avouer, nos baises sont plus fréquentes et dans mon cerveau il me suffit de penser à cette robe, ces inconnus qui baisaient autour de nous, pour déclencher de belles érections.
    
    Cependant, ces quelques jours il est moins présent. Il sait aussi que nous sommes allés rejoindre notre fils chez mes parents.
    
    Ambiance familiale. Mes parents sont d’une autre génération, d’un ...
    ... milieu campagnard, aimants, mais peu diserts. Leur maison est petite, sonore. Je suis mal à l’aise pour faire l’amour alors qu’ils pourraient entendre. Depuis toujours avec Agnès, lorsque cela nous prend, nous prétextons, une course, une promenade. La voiture nous sert de chambre. La forêt est notre complice.
    
    Cette grosse branche très près du sol, quasi horizontale, est un appui parfait. Agnès s’y appuie me proposant sa croupe. Sa fente est juste à la bonne hauteur. Est-ce le vent ou mon ardeur qui fait bruisser les feuilles de l’arbre ? Peu importe, c’est bon. Il fait beau, les oiseaux chantent et bientôt les cris de jouissance d’Agnès se joignant aux grognements de l’ours que je suis, vont perturber le bon agencement de cette nature.
    
    Nous revenons main dans la main, heureux, repus. Repus jusqu’à la prochaine fois. Jean par ses envois a distillé des idées que je cache.
    
    — Tu sais, c’est drôle. Je crois que jamais je n’aurais imaginé de dire cela, mais ça me manque.
    
    Cette phrase de mon épouse est comme la continuation de ma propre pensée. Je réponds, sans même chercher à avoir plus de précisions :
    
    — Moi, aussi. Sacré Jean !
    
    On s’arrête. On se fait face. Un silence chargé de tendresse. Je ne sais ce qui me prend, mais un « Je t’aime » me vient à l’esprit et sort de mes lèvres dans un souffle chargé d’amour.
    
    Couple enlacé, presque chaste, baiser d’amoureux. Comme si on avait besoin de nous rassurer.
    
    — Sans aller jusque-là, on pourrait essayer de revivre ce ...
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