1. Une journée qui commence mal. Un jour de plus !


    Datte: 20/10/2021, Catégories: fh, fhh, couple, couplus, candaul, boitenuit, fête, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, Oral 69, préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, yeuxbandés, confession, totalsexe, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... entre ses cuisses pour lui apporter les caresses qu’elle enviait. L’autre se charge de rediriger sa queue entre des lèvres gonflées de plaisir.
    
    Je pourrais la toucher. Je meurs d’envie de me pencher vers elle et de lui parler afin que nous partagions ces moments particuliers.
    
    Mais je n’ai pas le droit. Elle voulait vivre cette première fois sans le regard de son mari. Et pourtant que c’est beau !
    
    Mon Dieu, je vois ce sexe si près qu’il me paraît énorme. Comment la gorge de mon épouse peut-elle accepter de le recevoir ? Le recevoir, mais aussi venir au-devant. Elle aime me sucer… Elle aime sucer… Je vois ses lèvres entourer un gland, étrangler la hampe… Une langue si agile que cela ne paraît pas naturel. Et sa main qui presse les bourses…
    
    Celui qui s’active entre ses cuisses ne doit pas être manchot, car parmi les bruits humides se remarquent des gémissements que par moment elle libère en repoussant la bite de sa gorge. Alors c’est une succession de respirations fortes, de feulements, de soupirs, de petits cris. Mais l’homme étouffe cette musique céleste avec son sexe impatient.
    
    Il la fait jouir. Elle s’étouffe un instant, coincée entre sa jouissance et le sexe qui lui remplit la gorge.
    
    Je vois l’homme se relever. Son sexe est un bâton horizontal qu’il lève vers le haut pour dérouler un préservatif qui n’arrive pas jusqu’aux bourses. Il fléchit les jambes, dirige son dard et entre sans coup férir dans un vagin qui doit ruisseler. Son compère, beau joueur a ...
    ... libéré Agnès qui reprend son souffle. Mais c’est un souffle qui s’expire à mesure que l’engin la pénètre.
    
    Le clin d’œil de celui qui la baise frise la provocation.
    
    Alors tout semble s’accélérer.
    
    D’abord celle qui me chevauche et qui regarde aussi.
    
    En même temps, celui qui possède ma femme la baise avec force, la puissance du conquérant.
    
    Les couinements d’Agnès saccadés par le bruit des chairs qui se heurtent.
    
    L’homme qui se saisit de ses mollets pour relever ses jambes, en former un V, utilisant alors toute la puissance de ses reins pour la posséder.
    
    Elle est juste à côté. Je vois le membre luisant de son désir la pistonner déclenchant une myriade de soupirs et petits cris. Oh, que j’aime ces cris ! Déjà avec Régis, lors de la soirée, ma jalousie avait fait place à la honte d’avoir négligé mon épouse, mais ce sentiment aussi s’était atténué pour une vision de mari aimant, oui, aimant au point d’être heureux du plaisir que l’homme déclenchait. Comme ce soir, en plus fort, dix fois plus fort, et je me retiens de lui dire. Oh, oui, combien j’aimerais lui dire. Lui dire combien j’ai été bête de ne pas réaliser plus tôt. Que de temps perdu ! Je ne suis pas le seul coupable. Toi aussi, tu devais le savoir au fond de toi. La soirée avait créé le doute ! Jean par ses invitations répétées l’avait alimenté.
    
    Et le doute est bien loin. Tu en es la preuve vivante. Tu te fais baiser par un autre. Tu le sais. Tu aimes ! Tu adores ! Ton corps le hurle à tous. Si l’homme ...
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