Une journée qui commence mal. Un jour de plus ! - Histoires de Sexe

Une journée qui commence mal. Un jour de plus !

... j’entends des grondements dont je ne sais plus de qui ils proviennent, sauf que ce sont ceux d’une femme.

Et nous, les mecs, droits dans nos bottes, qui par de petits coups de reins poussons nos bâtons dans nos épouses respectives.

Complices, mêmes mouvements amples, retraits contrôlés puis avancées brutales.

Complices jusque dans nos soupirs.

Mais le parfait agencement se désagrège. Agnès, je l’entends parfaitement, maintenant que sa maîtresse s’est relevée pour se consacrer à son propre plaisir, et qui annonce la montée de sa jouissance en m’honorant d’un :

— Vite, vite, Chéri.

Et, Chéri fait « Vite, vite », en accélérant.

Elle jouit. Son visage est un livre ouvert. Mon Dieu, qu’elle est belle ! Pourtant son visage est défait, marqué par la jouissance, avec même quelques larmes.

Je ne vois plus qu’elle. Elle me fixe. Les yeux dans les yeux, j’y vois le plaisir, mais aussi ce regard chargé d’amour. J’y vois aussi la montée de mon propre plaisir. Sa bouche entrouverte, son ventre qui se tend vers le mien, mes reins en feux, ma sève qui s’annonce, un dernier effort pour la stopper encore, une, deux, trois secondes afin qu’elle jaillisse encore mieux…

« Ohhhhh »

Je ne suis pas seul. Mon voisin et complice balance aussi…

Ils sont partis de leur côté, probablement pour des aventures plus échangistes. Nous les remercions de leur gentil accompagnement. Ils nous proposent de laisser à l’accueil leurs coordonnées au cas où !

On a repris notre ...

... visite.

On a découvert une salle spéciale avec des équipements étonnants. Il y avait du monde. Tous étaient tournés dans la même direction, même si beaucoup se donnaient du plaisir. Une femme était le centre de leur attention. Une femme attachée et aveuglée. Un homme tenait une sorte de grande tapette. Il s’en servait pour la frapper. Elle gémissait, mais ne se refusait pas.

Étonnés, nous avons cherché à nous rapprocher. Sur le côté, une balancelle suspendue au plafond nous arrête. Spontanément, je me colle contre Agnès. On est nus tous les deux, nos amis nous avaient conseillé de tout déposer dans un casier.

Un autre homme s’est avancé sur l’invitation de celui qui tient la tapette. Il bande et en se plaçant face à la femme la pénètre lentement. Très lentement, car en réalité ce sont les coups de tapette qui font avancer la femme pour se prendre elle-même.

Je bande. Agnès le sent.

— Ça t’excite ? Pervers ! Pauvre femme…
— La pauvre, regarde comme elle gémit. Tu crois que c’est parce qu’elle souffre ?
— Je n’en sais rien, en tout cas, ne compte pas sur moi pour ce genre de distraction.

Je me fais câlin. Une main caresse un sein, l’autre caresse son petit bouton.

Je la pousse. Elle s’accroche aux sangles qui tiennent la balancelle. J’insiste. Elle est penchée en avant. Elle a écarté les jambes. La coquine peut dire qu’elle n’est pas partante pour du SM, ce qui se passe avec la soumise et tout autour de nous, la rend disponible et accueillante.

Je la ...