1. Nymphomane, moi ? Tome III (5)


    Datte: 18/10/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... rôle de mes tétons, les suça, les aspira, ses dents entrèrent en jeu et les mordillèrent assez fortement, il me tira des râles de jouissance.
    
    Je saisis sa bite de mes deux mains, et le masturbai doucement, calottant et décalottant son prépuce mauve, son gland était énorme et bien évasé.
    
    Il me mit les mains sur les épaules et m’obligea à m’agenouiller, ma tête se retrouva à hauteur de ses grosses boules velues qui pendaient sous son phallus, cela sentit vraiment le fauve... J’eus un moment d’hésitation, puis je suçai l’une après l’autre ses grosses couilles. D’une main, il abaissa sa queue vers ma bouche. Avec le magazine porno, il avait dû se branler, car sur sa peau ressortaient des traces luisantes et sèches.
    
    Je salivai beaucoup, crachai sur son énorme bite tendue, dure comme du fer, puis avec ma langue, j’étalai mon écume sur la totalité du mandrin strié d’une veine bleue.
    
    Boba me saisit la tête d’une main et de l’autre força mes lèvres avec son gland, j’ouvris la bouche en grand, la tête mauve glissa à l’intérieur. Il mit ses deux mains derrière ma tête et avec de petits coups de reins, commença à enfoncer son énorme pieu rêche dans ma cavité buccale.
    
    Je fronçai les sourcils et je le regardai avec des yeux étonnés et craintifs, comme si je n’allai pas pouvoir ingurgiter sa grosse queue qui commença à racler ma gorge.
    
    Comme un défi, Boba planta son regard dans mes beaux yeux bleus-vert et il me sembla que je sentis sa queue s’allonger et croître, de plus ...
    ... en plus chaude, il me regarda souriant, étouffer et haleter, baisant ma bouche avec de profonds mouvements lubriques.
    
    Je suçai consciencieusement la bite de ce sans-abri, avec ma bouche pulpeuse. Ma salive coula sur mon menton. J’avais l’esprit comme dans un nuage, tout ce que je ressentis fut un certain plaisir à faire une fellation à cette énorme et sale bite d’un clochard !
    
    Alfred dut voir, sur le plancher, la petite flaque de foutre qui suinta de ma chatte palpitante. Je m’appliquai pendant cinq ou six minutes à bien le pomper, alternant les engloutissements complets de sa queue et les mordillements du gland. Il eut l’air de beaucoup apprécier.
    
    Puis je la sortis de ma bouche, et des deux mains, lui fis subir une masturbation rapide. Cela fit effet, il se crispa.
    
    — Ooohhh oui Boba, vas-y jouis en moi, donne-moi ton sperme au plus profond de ma bouche, oui, j’aime, j’aime le sperme... vas-y éjacule !
    
    J’avalai à nouveau le monstrueux rouleau et une grosse quantité de sa semence gicla dans ma bouche, les lèvres autour du gland, j’aspirai son méat, lui tirant des grognements de plaisir. Je me reculai et en le regardant dans les yeux, déglutis son nectar tiède et gluant.
    
    Il me releva et me poussa vers le lit.
    
    — Ne t’inquiète pas, il y a tellement longtemps que je n’ai pas baisé une fille, que mes couilles sont encore pleines. Petite Salope, j’ai vu que tu adorais les noirs... et même les vieux. Je vais t’enfiler mon énorme bite, mais tu mouilles tellement ...
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