Nymphomane, moi ? Tome III (5)
Datte: 18/10/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Trixie, Source: Xstory
C’était l’anniversaire d’Alfred, je ne savais pas trop quoi lui offrir, il possédait presque tout... Il me vint une idée, pourquoi ne pas satisfaire, comme je l’avais fait pour son neveu sa passion du candaulisme. Il était amateur de cette pratique sexuelle liée à l’excitation de voir sa partenaire exposée aux regards des autres hommes, ou même qu’elle ait des relations sexuelles avec une autre personne.
Je pris ma voiture, et partis prospecter en ville...
Après plusieurs rencontres qui ne m’accrochèrent pas, au bout d’un moment, je repérai un homme qui - sous un réverbère - avait l’air d’attendre le bus. Il était baraqué, noir, la mine assez patibulaire, il portait un bonnet et des vêtements élimés. Il avait tout l’air d’un sans abri. Au premier abord, il me sembla convenir à ce que je cherchai. Il devait avoir une quarantaine d’années. En m’approchant, je constatai que c’était vraiment un trimard, il lisait un magazine porno. Je passai mon chemin puis me ravisai, Alfred serait sûrement aux anges si je lui offrais un cadeau aussi pervers ! Je stoppai devant lui, descendis la glace côté passager. En me penchant, le dernier bouton de la veste de tailleur se défit... Tant pis... La vue pourra peut-être le décider à accepter ma proposition.
— Excusez-moi monsieur, ce n’est pas dans mes habitudes d’aborder ainsi les gens dans la rue, mais j’aurai désespérément besoin d’aide pour un petit boulot chez moi ! Je cherche un acteur pour fêter avec moi l’anniversaire d’un ...
... ami !
— Désolé Madame, mais j’attends mon bus pour rentrer chez moi...
— Ce n’est pas fatigant comme boulot, et je crois que vous aimerez, luis dis-je en désignant son magazine.
— C’est ce genre d’exercice que vous me demandez de faire ? Bon, c’est d’accord, à condition que vous me raccompagniez après...
— OK, c’est promis, je vous ramènerai chez vous, montez !
Je démarrai, il sentait le vin et la transpiration. Je réalisai ce que j’allais faire, et une boule d’appréhension me tordit le ventre, mais cette expérience glauque était quand même assez excitante. En conduisant, le mouvement de mes jambes fit remonter ma jupe sur mes cuisses, assez haut pour qu’il aperçoive les attaches de mon porte-jarretelles et un liseré de peau blanche au-dessus des bas. Les yeux de clochard s’y fixèrent dessus, je ne fis rien pour remettre ma jupe en place.
— Comment vous appelez-vous ?
— On m’appelle Boba Madame...
— Moi, tu peux m’appeler Trixie ! Bien, Boba, je vais te faire une demande qui va te paraître saugrenue ! Si tu veux le travail, il va falloir que tu me montres ta queue...
— Ben... Euh... !!!
— Tu veux le job, oui ou non ? Alors montre !
Il s’exécuta, défit sa braguette et avec un peu de mal, et de ses mains pas très propres sortit son phallus. C’était ce que j’espérai, un mandrin noir comme du cirage, d’au moins six centimètres de diamètre, pour une longueur qui devait avoisiner les 24 centimètres.
— OK, pas mal ! Tu as le boulot, lui dis-je en ...