1. Patricia 02


    Datte: 04/08/2018, Catégories: ff, fsoumise, Oral Auteur: Pages, Source: Revebebe

    ... après-midi chez elle pour finir notre discussion car l’heure de se séparer était arrivée.
    
    Je gardais mes retrouvailles secrètes, indécise sur des sentiments que je croyais enfouis au plus profond de moi. Je m’étais menti à penser que seule l’amitié me liait à Laurence et devais me rendre à l’évidence que c’était l’amour qui me liait à elle.
    
    La matinée semblait interminable, j’avais hâte de retrouver Laurence.
    
    Je me retrouve devant la porte de son appartement, j’ai à peine sonné que la porte s’ouvre sur une créature de rêve vêtue d’un peignoir en soie rouge, ses cheveux noirs, mouillés, enroulés dans une serviette de toilette blanche. Sa peau métissée et ses yeux légèrement bridés la rendent très attirante, tout comme sa voix :
    
    — Vous êtes Patricia, je suppose, dit elle avec un beau sourire qui a pour effet de me faire découvrir ses belles dents blanches. Moi, c’est Élise, l’amie de Laurence, entrez.
    
    Elle me précède et je ne peux m’empêcher de regarder ses jambes fuselées et ses fesses magnifiquement bombées. Élise me fait asseoir dans le salon et me propose un café pendant que Laurence finit de se préparer. Nous nous retrouvons assises face à face dans le salon et pendant que je bois mon café, je regarde sa poitrine que son peignoir me laisse découvrir à chaque fois qu’elle se baisse pour prendre sa tasse. Sa poitrine menue, en forme de poire est magnifique. Élise me raconte qu’elle est à Paris pour faire ses études de commerce et que Laurence a la gentillesse ...
    ... de l’héberger. Tout en parlant, la soie glisse sur ses jambes et j’ai la chance de contempler ses cuisses fuselées. Élise a remarqué que mon regard se portait souvent sur ses cuisses et ses seins.
    
    — Patricia, excusez ma tenue un peu décontractée, je vais aller me changer.
    — Non Élise, au contraire, cela ne me gène pas.
    
    Je suis étonnée de la réponse que je viens de lui faire. Élise, elle, semble s’en amuser et se rassoit dans le fauteuil, découvrant à nouveau ses cuisses tout en continuant à discuter. En retirant la serviette de ses cheveux, le pan de son peignoir s’ouvre et je peux admirer l’un de ses magnifiques lobes. Mon bas-ventre est traversé par une décharge électrique, pendant que je regarde la longue chevelure noire et bouclée tomber sur ses épaules.
    
    — Vous avez des cheveux splendides Élise.
    
    Soudain Laurence arrive dans la pièce, très agacée. J’ai peur d’en être à l’origine, mais il n’en est rien. Sa collègue est absente et il lui faut rejoindre son travail rapidement. Laurence s’en excuse et demande à Élise de s’occuper de moi, tout en me faisant la bise.
    
    Laurence partie, Élise reprend la discussion :
    
    — J’aurais aimé avoir des cheveux blonds comme les tiens, ils sont beaux, on dirait de l’or.
    
    Cette remarque me va droit au cœur. J’ai une envie folle de me jeter dans ses bras.
    
    — Je vais devoir t’abandonner, car si je ne me brosse pas les cheveux, je ne vais plus pouvoir me coiffer quand ils seront secs.
    — Tu veux que je t’aide Élise ?
    — Si tu ...
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