Un frère, un guide, un initiateur... (1) - Histoires de Sexe

Un frère, un guide, un initiateur... (1)

... de silicone de mon fondement endolori lequel se met aussitôt en RTT.

Je suis ravie d’avoir cédé à cette proposition d’Anita. Je me sens prête à accueillir Nicolas à la première occasion. L’anniversaire d’Anita est vendredi prochain. Déjà 19 ans, juste deux semaines après moi.

Dès mon arrivée chez ma copine, je n’ai qu’une idée en tête : est-ce que Nicolas sera de la partie ? Je n’ai pas à m’impatienter, c’est lui qui vient m’ouvrir. Nicolas vient m’ouvrir. M’ouvrir à Nicolas. Quel beau présage ! En fait, nous sommes seulement quatre, avec moi, Anita, Nicolas accompagné de son copain Julien. Petit comité, certes ! Mais compagnie fort agréable !

— C’est ce soir qu’on le perd, j’ai décidé de choisir mon cadeau d’anniversaire, ce sera Julien, me glisse Anita dès qu’on se retrouve seules.

J’adore l’idée de prendre notre première bite toutes les deux le même jour, dès ce soir. De vraies copines. Les copains partageant le pain, les copines partageant la pine.

Nicolas, ô Nicolas, tu me fais rêver depuis longtemps, mais là, ce soir, te savoir si près de moi, savoir que tu sais dans quelle intention je suis venue, Nicolas, je n’en peux plus. Tandis que le duo Julien-Anita s’affaire à la préparation des petits fours, c’est au moins ce que je crois, je prends Nicolas par la main, l’entraîne sans tarder dans les étages en montant quatre à quatre l’escalier en colimaçon. Dès le premier palier, Nicolas fait une tête de plus que moi, il me porte sans difficulté dans ses ...

... bras, telle une jeune mariée et me propulse dans la première chambre venue qui semble être celle de ses parents, vu la décoration un peu datée. Il ne ferme même pas la porte qu’il a déjà ma bouille entre ses mains, laissant ses yeux exprimer seuls la promesse d’une intense partie de cul.

L’approche de sa bouche m’enflamme déjà, je sens sa barbe fraichement taillée me titiller la lèvre supérieure, j’en ai un peu honte, mais dès ce premier contact, je bâille comme une huitre au soleil. Remplis-moi Nicolas, remplis-moi de ta langue, viens que je te tète, laisse-moi présumer de ce que sera ta bite au fond de ma gorge tout à l’heure, viens Nicolas, lui dis-je sans qu’il l’entende en passant ma main dans les cheveux de sa nuque. Enfin, il m’embrasse, il me mange la bouche, non, plutôt il me déguste. C’est un gourmet. Cette séance de pelles qui vont et viennent dure depuis un bon moment lorsque je prends l’initiative de glisser ma main vers cette excroissance impossible à dissimuler. C’est chaud. C’est dur, très dur, et c’est chaud. J’en veux plus, je veux la voir, je veux la toucher véritablement. C’est ma bite, celle dont je me souviendrais toute ma vie, la bite d’honneur, ma première bite.

J’ai du mal à défaire le premier bouton de son pantalon, la ceinture aussi me donne du fil à retordre.

Nicolas ne m’aide pas pour me prouver que tout se mérite, il exige des actes à la hauteur de mes désirs. J’y suis. La ceinture du boxer est distendue par un gland pourpre brillant de ...