1. Un frère, un guide, un initiateur... (1)


    Datte: 17/10/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: SHERAB, Source: Xstory

    Anita est ma meilleure amie depuis la grande section de maternelle. Autant le dire, nous sommes inséparables depuis plus de douze ans. Nous avons découvert le monde ensemble, maintenant, pas à pas, nous abordons l’univers des adultes avec son lot de surprises. Je suis fille unique, Anita a bien un frère plus âgé d’environ deux ans. Avec Anita, notre complicité est totale. Avec émerveillement, nous avons observé nos corps de gamine devenir deux très belles plantes. De soirées « pyjama » en escapades estivales, nos jeux ont évolué en s’imprégnant d’une dose grandissante d’érotisme. Rien ne vaut, pour nous deux, ces étreintes sans fin, nues dans un grand lit, ensuite, au petit matin, partager un long séjour dans un bain bouillant.
    
    Physiquement, nous sommes très différentes. On ne risque pas de nous imaginer sœurs jumelles. Anita, c’est une statue grecque, les hanches et les épaules larges, les seins lourds, une longue chevelure brune, la peau plutôt blanche détonnant d’une toison ébène, à croquer. Moi, dans ce couple, je suis plutôt Stan Laurel qu’Oliver Hardy. Le parfait poids plume. Je peux bien le dire, la puberté ne m’a pas transformée beaucoup. Mon mètre cinquante à peine dépassé, je fais vraiment modèle-réduit. Tout est petit chez moi, la taille, les seins, la chatte. Rien ne me fait plus fondre que les étreintes d’Anita. J’ai toujours l’impression qu’elle pourrait me croquer d’une bouchée alors qu’elle est LA douceur.
    
    Nous aimons nous faire jouir mutuellement, ...
    ... sans nous considérer gouines à part entière. Notre pacte, jusqu’à aujourd’hui, c’est de ne pas céder au premier venu, mais de ne jamais laisser notre sexualité en berne. Nous deux, nous avons tout essayé ensemble. Depuis notre timide premier baiser, nos lèvres sont descendues sur les tétons, puis nous avons poussé la découverte à promener nos doigts sur nos touffes naissantes en révélant la sensibilité de ce petit bouton qu’on appellera clitoris, bien après. Nous nous sommes astiquées comme des folles des nuits entières. Un jour, c’était la première fois, j’ai mis ma tête entre les cuisses d’Anita.
    
    Ah ! Quelle folie, quel enivrement de me retrouver à quelques centimètres de sa touffe, abondement fourni. Je prends du temps à y déposer un petit bisou. C’est doux, ça sent très bon. Ses poils sont soyeux. Ma langue s’immisce, Anita a posé sa main sur ma tête, m’invitant à oser. J’y vais à pleine bouche sans réfléchir. Mon ventre bouillonne. J’ai ma bouche sur la moule d’Anita puis je lèche, je cherche, je remonte, je lèche. Anita soupire. Je m’attarde sur l’excroissance bénie, sa mouille s’écoule sur mon menton. En glissant un peu ma langue, ouvre l’entrée du vagin, je lèche, j’aspire ses lèvres. Ma main rejoint la grotte, je doigte délicatement le vestibule. Anita en attend encore plus, elle se trémousse. Je joins mes doigts, ma menotte devient un reptile, elle glisse dans les moiteurs d’Anita. Au bout, je sens son col. Je reprends le clito entre mes lèvres, en même temps, je ...
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