Un frère, un guide, un initiateur... (1) - Histoires de Sexe

Un frère, un guide, un initiateur... (1)

... l’outil sur la table, face à moi, elle me prend sous les aisselles, me soulève jusqu’à sa bouche pour m’enfourner sa langue au plus profond. J’aime ses envolées fougueuses, j’aime devenir sa chose ! Mes jambes autour de ses hanches, les bras à son cou, je me laisse galocher sans retenue. Il ne m’en faut pas moins pour commencer à fondre. Je sens son épaisse poitrine contre mon torse, cette fille me rend folle tellement elle sait jouer de mes enchantements. Anita s’assoit sur le canapé sans me lâcher, me voilà déjà sur ses genoux en train de dégrafer son corsage et accéder à ses mamelons avant de malmener un peu ses tétons.

Anita me glisse à l’oreille :

— Avec ce nouvel accessoire, je vais m’adresser directement au « p’tit gars »...

— Quoi ? Tu veux dire quoi ?

— Je vais t’enculer, te la mettre bien au fond. Si tu réserves ton pucelage à Nicolas, il n’aura pas la primeur de ton cul. Je veux te prendre, te faire jouir par-derrière. Je veux faire de toi mon petit pédé adoré.

— C’est nouveau cette idée, ou tu couves ça depuis longtemps ?

— J’y pensais surtout pour moi, mais je n’ai jamais osé te le proposer. Je crois que ça va être un grand jour pour nous deux. Non ?

Je comprends mieux pourquoi nos séances de doigtage s’égarait presque à chaque fois, usant d’une mouille abondante pour fureter sans dommage dans l’anus de l’autre. D’un petit doigt timide, d’abord. Puis ensuite, de deux ou trois. À ce jeu, je ne pouvais pas combler Anita avec mes mains de ...

... poupée, par contre, sa poigne solide m’a fait grimper plus d’une fois aux rideaux. Sans vraiment nous en apercevoir, ou seulement du fait d’une longue pratique, nous nous retrouvons vite fait à poil sur le sofa. Je suis allongé sur le dos, Anita à genoux près de moi. D’un geste imperceptible, elle m’incite à basculer mes jambes vers elle afin d’ouvrir mon sexe à ses caresses. J’aime sa bouche chaude lorsqu’elle se pose sur mon ventre puis descend calmement vers ma fente. Anita, je t’aime. Elle délaisse toujours mon bouton de rose au profit d’une visite complète du territoire.

Des tout petits bisous d’abord, agrémentés de son souffle chaud, sur les contours des grandes lèvres, jusqu’à l’entrée de mon vagin.

À ce moment, un petit bout de langue fait mine de frapper à la porte inondée, ensuite repart aussitôt, avant de remonter à l’intérieur de la cuisse. Anita a l’habitude de prendre mes fesses à deux mains quand elle me gougnotte, elle me les malaxe sans arrêt, un de ses pouces toujours à proximité de mon trou de balle qu’elle ouvre avec finesse, non sans l’avoir lubrifié à mes écoulements de chatte en chaleur. Là, elle n’y va pas de main morte, c’est le cas de le dire ! J’adore lorsqu’elle me suce, sentir son pouce élargir mon anus, passer une à une les deux portes qui résistent naturellement. La savoir logée dans mon rectum est d’une douceur subtile propre à la sodomie. Cette sucrerie est certainement amplifiée par l’abandon nécessaire, sûrement indispensable à cette ...