COLLECTION JEUNE – VIEUX. L’étudiant en médecine (2/2)
Datte: 15/10/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... ses dents et récupère l’objet rond enroulé sur lui-même.
Il le place sur sa verge entièrement tendue.
Malgré mon âge indécent, comparé au sien, je me laisse séduire au lieu de ruer dans les brancards comme devrait le faire toutes les femmes ayant deux poils de bon sens.
Un, poil, c’est le nombre que je dois avoir.
D’autres peut-être auraient eu le bon nombre, mais après dix ans à avoir oublié que je pouvais séduire, j’accepte de devenir une vieille femme indigne
La capote déroulée, je le vois s’approcher.
• Oui, prends-moi, ta bouche m’a fait jouir, je sens que ta verge va me transporter.
C’est la première fois que je sens mon corps être rempli par cette verge qui glisse sans aucun problème en moi.
Je suis tout près de penser que pour la première fois, je m’exprime au moment de faire l’amour.
Je suis trempée alors que souvent avec mon mari, j’étais sèche à m’en faire mal.
Il est sportif et c’est sur ses bras tendus, mes jambes placées sur ses épaules qu’il me laboure.
On peut sans se tromper, dire que je suis une terre vierge et qu’à partir du moment ou je suis sienne, il me façonne suivant son bon vouloir.
J’apprends des mots que mes petites filles, si j’avais eu un enfant, apprendraient presque dès le berceau.
Bites, chattes, ça je connais.
Levrette, cunnilingus, fellation, prise par-derrière ou à la cuillère, je les découvre.
Ce qui est sûr, c’est que, chaque fois il me fait jouir.
C’est sans le moindre remords que nous ...
... vivons nos moments intimes sans pour moi me poser maintenant la moindre question.
Je reconnais même que je suis une salope qui s’assume.
Il en veut, j’en redemande, sans pour autant le perturber dans ses études.
Ce matin, je suis prête lorsque nous déjeunons ensemble.
Il est assis dans la cuisine et je m’approche.
Il passe sa main sous ma robe démarrant immanquablement mon envie.
Non, mon besoin de sexe.
J’ai commandé un taxi, j’ai vingt minutes à lui consacrer.
Il est en slip, tenue qu’il a souvent quand nous sommes tous les deux.
Je sors sa verge, et je la prends en bouche.
J’aime lécher son gland et finir avec ses grosses couilles que je lèche aussi, car ma bouche est trop petite, je pourrais peut-être les faire entrer, mais je risquerais de finir étouffé.
J’ai juste le temps d’écarter ma petite culotte et divinement il me plante me faisant monter au septième ciel.
En avance puis en retard lorsque je prends mon taxi pour la gare, je sens son sperme couler.
Grâce à lui, j’emporte mon amant en moi tout au long de mon séjour chez ma sœur qui m’a appelé étant alitée avec 40 de fièvre.
Certaines midinettes refusent de se laver la main de celui qui a posé sa signature.
Moi c’est ma chatte, qui est remplie de cette substance que j’ai appris à aimer avaler, restera en moi.
Merde la capote, pardon chère lectrice...
Je retrouve ma petite sœur que je soigne.
Elle me trouve épanoui.
Bon, j’ai de l’hygiène, sous la douche, même s’il ...