COLLECTION JEUNE – VIEUX. L’étudiant en médecine (2/2)
Datte: 15/10/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
• Tu permets !
Ce sont les deux mots que prononce Jocelin jeune étudiant en cinquième année de médecine.
J’ai accepté de lui louer la chambre que Jean m’a fait promettre de créer après sa mort d’un cancer du poumon.
Il fumait énormément jusqu’à trois paquets par jour.
Le cancer l’a rattrapé et lorsque je me retrouve seule dans la chambre de Jocelin, en bon praticien qu’il est déjà, il remarque l’anxiété qui marque mon visage.
Cet après-midi, je passe une mammographie, j’espère que j’échapperais au cancer.
Il me propose de me palper pour me rassurer, cela l’aidera dans sa formation.
Ses mains m’émoustillent pour la première fois depuis des années.
Toujours plus entreprenant sans que j’y trouve à y redire, pour moi je suis dans les mains d’un médecin, il me propose un toucher vaginal qui lui aussi lui serait utile.
Il finit de me dévêtir et me plaçant les fesses au bord de son lit, il m’introduit deux doigts.
Je me mets à ruisseler, ce que j’avais oublié depuis bien longtemps.
C’est à ce moment qu’il prononce ces deux mots.
• Tu permets !
Inutile de permettre, ses doigts sont remplacés par sa bouche qu’il pose sur mes lèvres les écartant pour trouver la partie de moi dont j’ignorais qu’elles étaient encore si sensibles.
Il faut que je reconnaisse que Jean expédiait les caresses préliminaires.
Je sentais les moments où il était chaud lorsqu’il regardait son paquet de cigarettes, hésitant entre moi et lui.
Une légère masturbation, ...
... une chemise de nuit qui se soulevait et un coup de rein pour me pénétrer.
En moins de temps qu’il en faut pour une clope, il se vidait en moi me laissant frustrée la plupart des fois.
J’allais le quitter pour aller voir ailleurs si le ciel était plus bleu, mais la maladie a frappé et après la force de l’habitude a guidé ma vie jusqu’à aujourd’hui.
Sa langue le trouve, celui que je caressais étant jeune malgré les foudres proférés par ma mère et le curé, si j’avais des penchants déviants.
Mon clito doit être dur comme la lame d’une épée, mais rapidement je sens ce que j’ai rarement ressenti la jouissance montante du fond de moi.
J’atteins l’absolu, l’orgasme simplement avec la bouche et les lèvres de ce jeune impertinent.
Je dois être dans une position indécente pour une quinquagénaire, les jambes en l’air la chatte offerte à ce jeune homme qui aurait pu être mon petit-fils, si j’avais eu des enfants.
Je suis sur un nuage surtout quand je sais ce qui va suivre, mais Chris71 va faire plaisir aux nombreuses lectrices qui lui parlent de capotes chaque fois que l’une de ses héroïnes baise sans et se retrouve enceinte.
J’ai joui et je suis ménopausée, mais le sida est toujours présent même si ses pères en médecine ont déjà réussi à empêcher ce virus sexuel de tuer ceux qui se font contaminer.
Jocelin attrape une petite pochette carrée sur sa table de travail.
C’est la première fois que je vois de mes yeux une capote dans son étui.
Il le déchire avec ...