1. Une histoire abracadabrantesque


    Datte: 14/10/2021, Catégories: fhh, ffh, grp, Oral pénétratio, fsodo, Partouze / Groupe historique, Humour aventure, fantastiq, Auteur: Laetitia, Source: Revebebe

    ... vais vous dicter. Ça devrait me permettre de me transmuter ici. Ensuite, je me débrouillerai et je vous laisserai tranquille. Promis !
    
    Avec Robin, nous avons accepté, même si c’était à contrecœur. Une fois entrée dans le cube, je m’extasie :
    
    — Waaaa, ça a l’air tout petit, vu de l’extérieur, mais c’est vachement grand à l’intérieur. Regarde Robin ! c’est stylé. On se croirait dans l’Enterprise. Où est Mr Spock ? Et Captain Kirk ?
    
    Nous nous sommes assis sur les deux sièges devant l’immense tableau de bord, plein de cadrans, de boutons, d’interrupteurs.
    
    — Je suis sûre que la plupart de ces trucs ne servent à rien. C’est pour la frime. Ah voilà l’écran dont parlait ton pote. J’y vais !
    — Fait gaffe Lætitia, quand même, c’est peut-être dangereux.
    — Poule mouillée !
    
    J’ai appuyé sur l’écran. J’ai suivi à la lettre les instructions d’Arthur Luth. Le cube se mit à trembler légèrement, la lumière tamisée s’est transformée en lumière rose vif :
    
    — Processus enclenché, transmutation en cours
    — Passez à la vitesse supra lumineuse, M. Sulu !
    
    Robin me jeta un regard interloqué.
    
    — Comment ! Un geek comme toi, qui ne connaît pas les citations cultes de Star Trek ? Tu m’étonnes, là, Robin.
    
    Après quelques secondes, le cube s’est arrêté de trembler, la lumière s’est tamisée à nouveau, et les parois sont redevenues transparentes.
    
    Nous nous trouvions dans une vaste pièce appartenant à un château ou à un palais, vu les dorures partout et les fresques peintes ...
    ... sur les murs et les plafonds.
    
    Il y avait là une quinzaine de personnes des deux sexes. Vu leurs visages poudrés et leurs perruques (hommes et femmes), nous étions entre l’époque, Louis XIV et Louis XV.
    
    — Et merde, ça n’a pas fonctionné, on a été propulsés dans le temps !
    — Tu crois, Lætitia ?
    
    Le hic, c’est qu’ils étaient tous à poil et que ça forniquait dans tous les coins.
    
    Toujours en peignoir, je suis sortie du cube, Robin derrière moi.
    
    — Oh là là, une partouze !
    
    Voyager dans le temps et se retrouver au milieu d’une partouze, c’est bien ma chance. Alors que j’aurais pu voir De Vinci peindre la Joconde. J’aurais pu me retrouver face à Einstein en train de peaufiner son E=mc². J’aurais pu regarder avec tendresse Auguste Rodin faire une déclaration d’amour à Camille Claudel. J’aurais pu tomber sur Socrate et Platon en train d’échanger sur l’esthétisme ou la démocratie… Eh bien non, je me retrouvais en pleine partouze chez les enfarinées du 18e siècle.
    
    — Oh toi, la courtisane, approche donc te délecter de mon dard fièrement dressé…
    — C’est à moi qu’il parle, lui ? Courtisane, pourquoi pute pendant qu’il y est !
    — Marquis, quelle maraude avez-vous donc accointée là ! Morbleu, le cul de cette gourgandine est fort appétissant, me permettrez-vous que je l’honore, pendant qu’elle vous suce le goupillon ?
    — Mais faites, cher Vicomte. Il y a de la place pour tous. Mets-toi donc en position, toi, la gueuse, me dit-il en m’appuyant sur les épaules pour que je ...
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