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[Sci-Fi] L'évolution de la race humaine (53)
Datte: 04/08/2018, Catégories: Divers, Auteur: SexFlag, Source: Xstory
... t’en fais pas, mon beau. On va trouver une solution pour te faire parler. Il maugréa quelques insultes indistinctes mais Erika crut discerner les mots : « folle » et « pute en manque de ... ». Elle baissa les yeux et se mit à réfléchir. La main de sa sœur était toujours enserrée autour de son sexe et le branlait doucement. La peau couvrait et découvrait le gland rougeâtre qui laissait s’échapper un peu de miellat transparent. Les lèvres d’Erika formèrent lentement un sourire cruel et son regard dénué de la moindre once de compassion se posa sur Benjamin. Sans rien savoir des plans tordus qui avaient pu naître dans l’esprit de cette folle, il se mit à blêmir et à trembler. Il crevait de mal au sexe, il en avait marre et voulait rentrer chez lui ... — Quoi ? S’impatienta Claire. Tu as une idée ? Dis-moi ! — Oui, j’ai une idée ... — Vas-y, crache le morceau ! — Je crois que ça va te plaire ... — C’est quoi ? Allez, dis-moi ! — On va ... l’enculer. Claire ouvrit de grands yeux surpris — Quoi ? Mais ... heu ... Tu es sérieuse là ? — Tout à fait. — Je ne sais pas ... Et si jamais il prenait du plaisir à ça ? Elles tournèrent toutes les deux leur regard vers Benjamin. Ce dernier était devenu encore plus blanc. Une profonde terreur se lisait sur son visage et il semblait que son esprit avait momentanément quitté son corps. Il n’en revenait tout simplement pas que de tels mots aient pu être prononcés, et par une fille de surcroît ! — ...
... Tu as raison, admit Erika avec une moue pensive. Ce serait contrariant qu’il prenne son pied ... On a qu’à l’enculer toutes les deux ! — Oh ouiii ! S’exclama la brunette en sautant de joie. Elle se leva et baissa son pantalon avant de s’en débarrasser d’un coup de pied désinvolte. Ses deux hampes en érection jaillirent de sa culotte comme deux beaux diables prêts à commettre une mauvaise blague. Benjamin se retrouva face à deux folles et trois queues qui le lorgnaient sans aucune pitié. Il hurla à s’en déchirer les cordes vocales. — Aaah non ! Arrêtez ! C’est bon, je vais tout vous dire ! Je vous en supplie, ne faites pas çaaaaa ! Il se mit à pleurer à chaudes larmes en serrant son radiateur comme un condamné à mort s’accrocherait aux barreaux de sa cellule. — Je crois qu’il faudrait quand même le sodomiser, réfléchit Erika tout haut. Au cas où il ne nous dirait pas la vérité ... — Je vous dirai la vérité, sanglota Benjamin. Je vous dirai tout ... tout ce que vous voudrez savoir mais, s’il vous plaît, ne faites pas ça ... ne me faites pas ça, je vous en conjure ... — Qui êtes-vous ? La police ? L’armée ? Questionna Claire. — Rien ... rien de tout ça, se dépêcha-t-il de répondre de peur que les deux malades ne le croient pas. Nous sommes des mercenaires, on nous a demandé de nous faire passer pour des policiers. -« On » ? Qui vous l’a ordonné ? Martela Erika. — Je n’en sais rien. Il ne nous a pas montré son visage. — OK, Claire, on ...